{ Uruha }
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« IDENTITY CARD »
♠Prénom : Uruha
♠Âge : 21 ans
♠Race : Humain
♠Rôle : Homme à tout faire au night club
♠Clan : Jiyuu
♠Origine : La terre
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« PSYCHOLOGIE » ♠ Votre motivation dans la vie : Oublier ...
♠ Vos plus grandes peurs :Retourner dans cet endroit ...
♠ Vos goûts : La sensualité, la violence, le sang et le sexe ...
♠ Vos particularités : Je peux changer rapidement d'humeur, et parfois, on a dû mal a me reconnaître tan je peux être étrange … Les gens ont tendance à me fuir lors de mes crises.
« HISTOIRE »
♠ Physique : Grand, c'est une particularité que j'ai depuis tout petit déjà, j'ai toujours été le plus grand de ma ''classe'' ainsi que peu être trop grand pour mon âge. Ma croissance physique cacherait peut être une compensation pour ce dont j'ai hérité pour mon mental ?
Ensuite, je suis maigre, très maigre on peut le dire, l'endroit d'où je viens n'était pas connus pour sa bonne nourriture, et il n'a pas été rare durant ces longues années que je sois privé de repas, c'était une punition très utilisé dans cet endroit, ainsi les autres pouvait avoir un repas plus varié au détriment des mauvais éléments. Je n'ai donc presque aucune force, bien que lors de mes crises, celle-ci se décuple et surgisse de nul part. C'est une chose que je ne comprends pas mais que les autres ont appris à se méfier très tôt. Il n'a pas été rare que je mette à sac une pièce, brisant des meubles avec une aisance hors du commun. Je suis donc quelqu'un de fin, et tout mon corps est ainsi fait. Mes cuisses, les bras, mon torse, mes mains … Tout !
C'est aussi une particularité de mon visage, mes traits sont fin, tendre, presque adorable d'après certaines personnes de mon ''entourage''. On me donnerait le bon dieu sans confession, si l'on ne savait pas ce que j'étais vraiment. J'ai des yeux marrons, des petites joues parfois rebondis lorsque j'arrive à prendre quelques kilos, des joues roses et pulpeuses qui appelle les baisers. J'ai des cheveux brun claire, qui passe parfois au blond. Voilà je pense que c'est tout ce qu'il y a besoin de savoir pour me reconnaître physiquement parlant.
♠ Psychologie :A première vue, je suis un être humain tout à fait comme les autres, j'ai mes humeurs, mes joies, mes peines, mes moments de paix, de problèmes. Sauf que, je ne suis pas vraiment ce qu'on appelle quelqu'un de normal.
Pour commencer, j'ai une certaine instabilité mental, c'est ce que les ''autres'' m'ont dit avant que je n'arrive à partir. Je passe d'une humeur à une autre rapidement et parfois violemment. Je peux rire, jouer avec vous, puis au moindre mot, même si vous ne comprendrait pas pourquoi, je suis capable de vous sauter au visage pour le griffer au sang. Je suis capable, la seconde d'après, de me mettre à pleurer sans comprendre ce que j'ai pus vous faire, sans même pouvoir dire que cet acte a été réalisé par mon corps et ma conscience. Il est possible que je vous regarde avec de grands yeux tendres en vous demandant pourquoi soudainement vous saignez. Étrange non …?
Ma mémoire me fait défaut pendant certaines de mes crises, je peux me retrouver dans un endroit sans savoir comment j'y suis arriver et même ou je me trouve. Je peux aussi me demander pourquoi j'ai partagé un lit avec un homme aussi nu que moi au réveil, ou bien pourquoi j'ai du sang sur les mains. C'est comme si, une autre personne avait la possibilité de prendre possession de mon corps.
Un psychanalyste appelé Freud a eu théorie sur le conscient et l'inconscient. Il semblait que l'inconscient, soit caché, qu'il soit dans la cave de notre cerveau, dans un endroit où personne ne puisse le voir ou le connaître et qu'il ne puisse pas interférer dans la vie du conscient car une barrière l'en empêche. Or chez moi, cette barrière, parfois s'ouvre, et les rôles s'inverse, mon instancient peut faire ce que bon lui semblait et ma conscience est en veille.
Voilà comment l'ont peut me comprendre un peu mieux, tout cela à cause d'une barrière que personne ne peut réparer. Je peux donc être violent, méchant, vicieux, pervers, sournois, une fois la barrière ouverte alors que lorsque celle-ci se ferme, je suis adorable, gentil, timide, souriant, et tendre. C'est bien étrange je le sais, mais certains ne s'en rende pas compte, je vous assure que je joue bien mon rôle ...
♠ Histoire : Je suis né, il y a presque vingt et un ans à présent, sans une famille plutôt bourgeoise. Le contexte était presque rêve pour un enfant, une grande maison, un manoirs pour être précis, du luxe, de la richesse, un père adorable et aimant, une nourrice maternelle et tendre. Ne manquerait pas une personne ici …? Une mère peut être ... une génitrice. Oui, j'en ai une, mais je ne l'ai jamais vus avant d'atteindre mes cinq ans. Le petit Uruha que j'étais n'avait pas bien compris ce que devait être un mère étant donné que je vivais très bien sans. Alors mon enfance jusqu'à mes cinq ans n'a pas été des plus triste, bien au contraire dois je dire. Aimé, choyé, j'étais la petite merveille de ma petite famille.
Un jour, alors que je venais de prendre cinq ans, mon père revint d'une de ses sorties assez habituelle et ponctuelle, et me demanda de le suivre dans le salon. Content de passer encore du temps avec celui-ci, je quittais ma nourrice pour prendre place sur un grand canapé de velours pour écouter mon père qui venait de prendre place devant moi.
- Uruha, est-ce que tu sais où est-ce que je me rend, à chaque fois que je pars comme ce matin ?
Ma réponse avait été négative, car jamais je ne m'était d'ailleurs posé la question à moi même. Il me sourit alors, avant de reprendre tranquillement :
- Je vais dans un hôpital, comme celui dans lequel tu as été quand tu as été malade il y a trois mois. Mais dans celui-ci, se trouve quelqu'un que tu ne connais pas encore mais qui elle te connais mon cœur. Voilà, ta maman était très malade quand tu es né, alors elle a dû se rendre dans ce hôpital, mais à présent tout vas bien, alors elle va venir nous rejoindre d'accord ?
Une maman … très bien mais qu'est-ce que cela devait être au juste ? Je l'appris rapidement car cette femme arriva dès le lendemain dans notre maison. Et lorsque je l'a vis entrer alors que je regardais par la fenêtre pendant que ma nourrice préparait mes vêtements, je sentis alors, que je la connaissais déjà. Cette femme était blond, grande et très maigre. Une fois habillé, je me tournais vers mon miroir et pus voir dans le reflet, un jeune garçon que j'étais, blond, grand et maigre. On ne peut pas dire que je ne fut pas heureux lorsqu'elle passait du temps avec moi, même si je n'avais pas réellement compris ce qu'elle devait être pour moi.
Les années passèrent lentement mais tout aussi tranquillement que mes cinq premières années, sauf que … un heureux événement arriva chez nous. Tout comme lorsqu'il m'avait annoncé le retour de ma mère, mon père m'annonça l'arrivée d'un bébé prochainement. J'avais huit ans. Et lors de ma neuvième année, il arriva, enfin elle arriva. Une jolie petite chose brune et agité qui pleurait beaucoup mais que je n'aimais déjà pas. Elle prenait beaucoup de place dans le temps et le cœur de mon père, et je me sentis complétement mis de côté par cette petite chose.
Une nuit, alors que mes parents dormaient comme le reste de la maison, il se passa quelque chose, une chose que moi même je n'avais pas compris. Je me souviens juste de cris, de hurlements et de pleurs, et du sang … beaucoup de sang … Ma mère pleurait, mon père criait, et moi, je me souviens d'avoir été dans le salon, à l'endroit même où mon père m'appelait pour m'annoncer quelque chose. Ce matin là, celui qui précéda cette nuit de cris, je me trouvais dans mon canapé de velours, devant moi, mon père, les yeux rouges et les mains crispées. Je me souviens de mes mains, rouges, teinté d'une couleur que je ne leur connaissais pas habituellement. La voix de mon père était presque éteinte lorsqu'il me parla :
- Uruha, tu te souviens de cet endroit où était ta maman avant qu'elle ne revienne ici ? Tu vas y aller un petit moment d'accord ?
- Pourquoi ? Je suis pas malade papa !
- Non, mais des gens aimeraient te voir là bas, tu verras, tout se passera très bien, je viendrais te voir dès que je pourrais et puis tu sera bien là bas, tu verras Uruha, tout ira bien …
les autres années, celles qui suivis mon enfermement dans ce qui se trouva être un hôpital psychiatrique fut tapissé de cris des autres malades, des crises que je me voyais faire et des visites de mon père. Dans un premier temps, je ne compris pas la raison de ma présence ici, puis un jour, alors que mon père venait me rendre visite, j'osais demander si ma petite sœur allait venir un jour aussi pour me voir. Je pus alors voir dans les yeux de mon père une immense peine avant qu'il ne murmure :
- Il n'y a plus de petite sœur Uruha …
Le temps passa, et jamais, jamais je ne pus sortir comme il me l'avait promis. Les médecins me trouvaient bien trop intéressant, j'étais un cas qu'ils avaient du mal à comprendre et donc une nouvelle découverte pour eux. Je pense que ma mémoire a voulus me protéger, car je n'ai à présent que très peu de souvenir de ce qui s'est passé durant ces dix années. Ce dont je me souviens par contre, c'est qu'on m'appris que l'hôpital allait changer de place, un nouveau avait été construit après des années de demandes et tous les patients allaient être transférer. Je voyais donc là mon seul moyen de m'échapper. Là encore, je ne saurais dire comment j'arrivais dans cette forêt, je sentais juste une douleur au niveau de mes mains et de mes pieds. Et une porte …
Cela fait à présent deux ans que je suis dans la nouvelle terre et mon arrivée est encore bien flou pour moi. Je me souviens de quelques petites choses qui m'apparaissent en rêves. Je suis actuellement homme à tout faire dans un night club de ce lieux, un endroit où les vampires viennent pour s'amuser et boire. En temps normal, je n'ai pas vraiment le droit d'être au contact des clients, je suis un peu un remplaçant que les hosts sont trop fatigués pour aller travailler et qu'il manque du personnel, mais c'est très rare. Le reste du temps, je fais le ménage, j'aide à faire à manger, et parfois, quand les hosts ont besoin, je suis aussi à leurs services. Le gérant ne connait pas vraiment mon histoire, il ne veut d'ailleurs rien savoir, tan que je ne pose aucun problème, que je suis bien sage et que mon travail est parfait alors tout vas bien.
Mais j'ai tout de même une petite phrase à vous dire en guise de fin, car on ne se méfie jamais des gens qui travail dans le noir, on les vois très peu, ils n'existent presque jamais pour les autres. Je vais donc vous dire une petite phrase que j'ai entendu dire à mon intention par un médecin lorsque j'étais encore dans cet endroit :
''On lui donnerait le bon dieu sans confession, si l'on ne savait pas que le diable était dans son corps''
« Derrière : Uruha »
♠ Pseudonyme : To'chan
♠ Age : 19 ans
♠ Expérience RP : 3 ans
♠ Avatar choisi ( groupe) : Uruha (The gazettE)
♠ Comment vous êtes-vous retrouvé chez nous ? C'est Hyde qui m'en a parlé
♠ Une chose à dire ? Non ça va ^^
♠ Code de validation : Code okay par Kousei_
