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| Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 6 Mar - 23:07 | |
| Je m'allonge à moitié sur le canapé, attrapant la télécommande pour allumer la télé, je zappe les chaînes, y en a trop, il est abonné à combien de chaîne satellite ? Je souris en entendant le gaz s'allumait, vous avez décidé de me préparer votre riz et saumon mais moi j'ai pas demandé ça. Je vous laisse faire tout de même votre cuisine, regardant pendant ce temps une chaîne de musique. Quelques minutes plus tard, je vous voit revenir avec une assiette que vous posez sur la table basse. Je me redresse pour m'asseoir, et observe l'assiette, ça donne très envie mais ce n'est pas ça que je voulais. Je vous regarde quand vous parlez, on dirait un chien aux ordres de son maître.
- J'ai pas demandé un plat de vous.
Je m'efforce de ne pas rire, on se demande qui est l'esclave et le maitre en voyant cette situation. Je me rallonge sur le canapé et vous fait signe de vous pousser puisque vous êtes en plein devant la télévision.
- Poussez vous, je vois rien.
Vous allez peut-être penser que je vous manque de respect mais estimez-vous heureux, je vous vouvoie encore. (a)
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Lun 7 Mar - 16:19 | |
| Je te regarde toujours alors que je pose mes mains sur mes hanches. Tu viens de dire que tu n'en voulais pas ? Sache que je n'ai pas passé tout ce temps en cuisine pour rien. Je fronce les sourcils, me doutant bien que c'est juste pour faire ton intéressant. Je souris en coin alors que je prends l'assiette en main.
- Vraiment ? Tu n'en veux pas ? Pas grave, quelqu'un d'autre sera content de le manger à ta place.
Je ricane légèrement en reprenant l'assiette quand tu me demande de me pousser. Je fronce les sourcils, n'aimant pas que 'on me dit ce que je dois faire, ou que l'on me donne un ordre. Je repose l'assiette alors que je t'attrape par le col de ton haut. Je fronce les sourcils tout en serrant les dents.
- De une, tu bouffe ce qu'on te donne, si tu n'en veux pas, tu ne mangeras pas, ce n'est pas du tout mon problème et de deux, ici tu n'es qu'un jouet, alors tu la ferme et tu te fais petit.
Je te rallonge sur le canapé et me met sur toi alors que je te retire ton haut. Je regarde ton cou en souriant en coin alors que je glisse mon regard sur ta chaine. Je griffe ensuite ton torse tout en murmurant.
- Maintenant tu la ferme, compris, gamin ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Lun 7 Mar - 19:54 | |
| Je relève mes yeux vers vous quand vous m'attrapez par le col, visiblement ça ne vous a pas plut. Je plonge mon regard dans le votre, alors que je souris progressivement à vos paroles, je m'en contre fiche de vos mots, mais bon vous avez pas l'air de remarquer. Vous me rallongez ensuite sur le canapé, je me remet bien correctement, je vous regarde vous installer sur moi. Sans gêne vraiment. ~ Je me laisse toutefois déshabiller avec un sourire au coin des lèvres. J'échappe un petit gémissement quand vous griffez mon torse, je vous lance un regard provocateur avec un sourire.
- Alors à chaque fois que je vous parlerez mal ou désobéirez, vous allez me violer ? Et bien, vous manquez d'imagination.
Je laisse un petit rire s'échappait de mes lèvres, glissant mes mains sur vos cuisses.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Lun 7 Mar - 20:16 | |
| Je souris en coin quand je sens que tu glisse tes mains sur mes cuisses. J'embrasse ton torse tout en gardant un oeil sur toi. Je mordille tes tétons alors que je souris en coin quand tu me demande si je passerai mon temps à te violer, si tu me désobeit. Je ricane très légèrement.
- Hm, je ne pense plus que ce soit du viol maintenant... Et peut-être que oui, peut-être que non...
Je te regarde tout en laissant mes pupilles virer au rouge. Je respire légèrement plus rapidement et fais le tour de ton nombril de ma langue. J'ai pas envie de toi, mais j'ai juste envie de boire, mais ça tu l'as deviné. Je murmure donc une dernière fois.
- Tu es sûr de ne pas vouloir manger ce que je t'ai préparé ?
La dame de ménage entre dans la pièce et se cache les yeux quand elle nous voit, sur le canapé et pas non plus dans une bonne posture, mais qu'est-ce que je m'en fiche, ce n'est pas un domestique qui va m'empêcher de faire quoi que ce soit. Je retire donc ton pantalon alors que je me glisse entre t'es cuisses. Je regarde ensuite la dame de ménage en lui faisant un bref signe de la main. Je te regarde et plante mon regard dans le tiens quand je te fais sentir mes canines contre la peau blanche de ton aine. Je lèche lentement ta peau du bout de ma langue en passant mon index de ma main libre contre ton orifice, encore couvert. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Lun 7 Mar - 22:04 | |
| Je caresse doucement vos cuisses, gardant mon petit sourire sur les lèvres, j'étais plus d'humeur à me débattre à chaque fois que vous me toucherez, j'en avais marre, en plus ça servait à rien. Je laisse un soupir sortir de mes lèvres quand vous mordillez mes tétons, je vous regarde ensuite quand vous répondez à ma question. Je souris avec malice, mais mon sourire s'efface vite quand je remarque vos yeux devenir d'un rouge sang, ça me glace le sang à vrai dire, c'est terrifiant. On croirait rencontrer le diable en personne. Je fais donc abstraction de ce détail et vous regarde faire quand votre langue s'amuse à faire des cercles autour de mon nombril, ma respiration se fait un peu plus rapide. A votre question, mon ventre se remet à gargouiller, je soupire, je ne répond rien. Je vois la femme de ménage entrer dans la pièce, je souris en remarquant qu'elle se cache les yeux, je pousse alors plusieurs gémissement très sensuelle et excitant, juste pour la mettre mal à l'aise, ça m'amuse. Je baisse les yeux vers vous quand vos mains retire mon pantalon, je soulève légèrement mon bassin pour vous faciliter la tâche. Après ça, je continue de vous fixer, observant chacun de vos gestes, je frissonne violemment en sentant le bout de vos canines contre mon aine, je me mord la lèvre en sentant votre langue humidifiait ma peau, je soupire de manière sensuelle en bougeant légèrement mon bassin, mais j'arrête tout mouvement quand je sens votre index se posait sur mon orifice, je le retire de ma main, je n'ai pas vraiment envie d'être toucher sur cette partie là.
- D'accord, je veux bien manger votre plat..
J'avais juste envie que vous arrêtiez, et puis j'avais très faim, alors je ne pouvais plus résister, sinon j'allais finir par tomber dans les pommes.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 9 Mar - 11:42 | |
| Je suis assez surpris du fait que tu continue de caresser mes cuisses, mais si tu y prend gout, t'en mieux, parce que c'est loin d'être finis. On dirait que tu n'aime pas quand mes pupilles virent au rouge. Tant mieux, j'aime quand je vois cette peur naitre dans le regard de ma proie. Ca a un côté excitant. Je peux lire en toi que tu me vois comme le diable, mais tu as bien raison, car qui te dit que je ne le suis pas ? C'est vrai, je peux être gentil comme terrifiant, après, c'est à toi de ne pas trop me chercher. Mais je me rend compte qu'avec toi, je n'ai été que gentil. Alors je pense commencer à sévir. Ton gémissement sensuel me donne tout de même des frissons, car pour quelqu'un qui joue la comédie, tu y met ton coeur. Je souris légèrement en coin alors que je griffe légèrement ta cuisse tout en rentrant mes canines quand je vois que tu veux manger. Je ne dis rien, bien que je sais que c'est juste pour détourner mon attention, ou retarder le moment que tu redoute le plus.
- Oh, tu as faim maintenant ?
Je ricane légèrement en voyant que tu repousse ma main, dont mon doigt s'appuyait contre ton orifice, quel dommage, je vais devoir attendre pour pouvoir prendre mon pied, mais voyons le bon côté des choses, tu vas pouvoir manger, ce qui m'évitera tout autre incident. Tu as besoin de reprendre des forces de toute manière, depuis hier tu n'as rien mangé, mais je compte bien y remédier, d'une manière ou d'une autre. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 9 Mar - 14:34 | |
| Je vous regarde, attendant une réaction ou une réponse de mes précédente paroles, finalement vous rétractez vos canines, plutôt bon signe, je serais épargné d'une morsure.
- J'ai pas le choix de manger si je veux pas tomber dans les pommes..
Je soupire en vous voyant rire de mon geste d'avoir repoussé votre main. En même temps, vous avez déjà prit votre pied y a quelques heures, comme si j'en avais envie à nouveau. J'attends alors que vous vous sortez parce que je ne peux pas bouger pour le moment étant donné que vous êtes sur moi. Finalement, vous vous retirez, je m'assois donc et attrape l'assiette qui est encore sur la table basse et qui est encore chaude heureusement, je prend les couverts et coupe un morceau de saumon avant de le prendre délicatement dans la fourchette que je porte à mes lèvres, je mâche lentement le morceau, j'aurais voulu dévorer comme un affamé puisque je l'étais mais ce n'était pas des manières. Je vous regarde de temps en temps, alors que je commence le riz. En tout cas, ça fait vraiment du bien de manger, et dire qu'à cause de mes caprices, j'aurai pu passer à côté de ce plat qui est bon, je dois avouer. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Jeu 10 Mar - 19:28 | |
| - C'est vrai, si je te vide de ton sang, il ne t'en restera plus, et ça serait dommage pour moi, il faudrait alors que je te remplace.
Je souris en coin, légèrement amusé par cette situation. Je m'installe correctement sur le canapé pour ensuite te regarder manger. Même s'il est vrai que j'ai pris mon pied il y a quelques heures, cela ne me dérange en rien de recommencer maintenant, mais pour le moment je préfère être réellement aux petits soins avec toi, car après ce que tu as subis dans cette boutique, je n'aurais pas dû te bondir dessus. Bien que je me soumettrai par moment, ne va pas croire que tu pourras prendre le dessus tout le temps. Je te regarde manger sans savoir si cela te mets mal à l'aise ou non. Je veux avoir un oeil sur tout ce que tu fais, parce que j'en ai décidé. Quand je te vois manger, je souris en coin alors que je tourne légèrement le visage vers le tiens.
- Si tu veux autre chose, j'irais réveiller le cuisinier, car je ne suis pas un cordon bleu... Mais j'espère tout de même que ce que je me suis cassé les fesses à te cuisiner te fait un minimum plaisir, sinon tant pis... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 11 Mar - 13:14 | |
| Je continue de manger tranquillement, mon regard se pose sur la télé encore allumé, et par moment je vous regarde du coin de l'œil pour vérifier si vous m'observez, ce qui est le cas. Ça ne me met pas mal à l'aise, je m'en fiche à vrai dire, tant que vous ne m'énervez pas. Je vous regarde quand vous parlez, je secoue la tête.
- Non ça me suffit même si ce n'est pas vraiment bon..
J'exagère, mais j'ai pas envie de vous faire satisfaction en même temps, au bout de quelques minutes, je fini l'assiette, je pose les couverts dans l'assiette et me lève en allant dans la cuisine pour déposer l'assiette et les couverts dans le lave vaisselle. Je sais bien que je n'avais pas besoin de le faire, la femme de ménage aurait pu s'en occuper ou bien même vous mais j'avais envie de vous fuir pour tout dire. Je cherche alors un verre et me sers de l'eau que je bois doucement, je repose ensuite le verre, m'adossant contre le plan de travail, je lâche un bref soupir, je me demande combien de temps je vais passer ici et si je vais tenir le coup. Je quitte la cuisine, j'avais très envie de sortir, il faisait maintenant jour et je sais très bien que vous, vous ne pouvez pas vous exposer en plein soleil. Je vais rapidement vers la porte d'entrée sans votre accord, j'arrive tout près de la porte mais malheureusement, je n'ai pas été assez rapide, vous arrivez devant, me coupant la route. Je vous regarde.
- Je ne compte pas m'enfuir, je veux juste prendre l'air..
Et pour une fois, je ne mens pas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 11 Mar - 13:26 | |
| Je t'écoute tranquillement alors que je te vois finir peu à peu ton assiette. Je souris finement alors que je te laisse ensuite te lever, et quand je vois que tu prends l'assiette et les couverts, je me dis que tu vas certainement débarrasser ta table. Je me lève donc et m'étire, je suis épuisé, il faut que j'aille me reposer, mais avec toi, on n'est jamais sûr de rien, puis de toute façon, si tu fuis, je ne chercherai pas à te rattraper, même si cela m'ennuiera profondément, je n'aurais qu'à racheter un autre esclave, et tant pis. Bizarrement, je ressens le besoin de me mettre devant la porte du hall d'entré, alors je m'exécute et j'ai bien fais, parce que tu semble t'y diriger par la suite. Je hausse un sourcil tout en t'écoutant à nouveau. Je ricane légèrement et glisse une main dans tes cheveux. Je ne sais pas si ce coup-ci, je dois te faire confiance, la dernière fois que tu m'as dis ça, tu as tenté de t'enfuir, mais cette tentative est restée sans résultats positif, au contraire.
- Je ne sais pas pourquoi, mais bon, si tu dis que tu reste dans la propriété, moi ça me va.
Je te regarde, d'un air fatigué qu'on ne peut plus cacher. Je parviens ensuite à lire dans tes pensées, je souris alors en coin et m'écarte de la porte que je t'ouvre.
- Fais attention à toi, cette fois. Quant à moi, je vais aller m'allonger quelques heures, mais cela ne veut pas dire que je baisse ma garde. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 11 Mar - 13:57 | |
| Je vous laisse faire à votre geste, vous fixant, je remarque en effet que vous avez une mine fatiguée, j'hoche légèrement le visage à vos paroles.
- Reposez-vous autant que vous voudrez, je ne partirais pas, j'ai pas envie de toute façon.
Je pense avoir changer d'avis sur l'idée de m'enfuir, je me retrouverai seul en étant en liberté et qu'est-ce que je ferai ? Pas grand chose, alors autant rester à vos côtés, en plus vous n'êtes pas si méchant, je suis tombé sur le bon vampire, on peut dire. Je vous adresse un faible sourire, le premier qui vous est destiné, je sors ensuite dehors, et je vais vers le charmant jardin que j'avais aperçu à ma tentative d'évasion, je remarque de jolis fleurs de toutes les sortes, je décide de m'allonger dans l'herbe et profiter du soleil, ca fait vraiment du bien de sortir de l'obscurité de ce manoir. Je reste un moment, je m'endors finalement, puis au bout d'une demi heure, je me réveille, je décide de me relèver et retourner vers l'entrée du manoir, j'entre en refermant bien la porte. Je me demande si vous vous reposez encore, je monte donc dans la chambre. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 11 Mar - 14:39 | |
| - Je te fais confiance, et ne va pas trahir ce que j'ai du mal à donner.
Je me pousse de la porte d'entré alors que je monte les escaliers d'un pas lent. Je me tourne ensuite vers toi pour te regarde sortir, la lumière du soleil me fait un drôle d'effet, juste à la regarder, comme une peur, ou je ne sais comment définir ce que je ressens à l'instant même. Je vais donc dans la chambre alors que je vois que la dame de ménage à refait mon lit. Je souris tendrement et retire entièrement mes vêtements, même mon boxer que je laisse un peu partout dans la pièce pour ensuite m'approcher de la fenêtre pour regarde où tu te trouve, parce que je t'ai dis que je gardais tout de même un oeil sur toi. Ensuite, je pars m'allonger sur le lit, sur le ventre. Je prends un oreiller entre mes mains et pose ma tête sur ce dernier. Je ferme les yeux après avoir vu que toi tu es allongé, sur l'herbe dans le jardin. Je frotte mes yeux et m'endors profondément. Je dors toujours quand tu monte les escaliers pour pouvoir te rendre dans la chambre. Durant mon sommeil, j'ai bougé et je suis donc maintenant sur le dos, l'oreiller contre mon torse. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 11 Mar - 15:11 | |
| Je monte les escaliers, en me dirigeant vers la porte de votre chambre entrouverte. Je la pousse et je vous vois sur le lit, nu, je détourne le regard, quel idée de dormir entièrement nu, garder le boxer aurait suffit, enfin, chacun ses habitudes. Finalement, je repose mes yeux sur vous, observant votre corps bien sculpté, je souris en coin et m'approche de vous, je viens m'asseoir sur le bord du lit pour mieux vous observer. Vous êtes paisible comme ça, on pourrait même de loin s'imaginer que vous êtes un prédateur. Je glisse une main sur votre torse vraiment froid, on croirait toucher un corps mort, bon d'un point technique, vous êtes mort. Je profite à caresser votre torse avant de descendre au fur et à mesure ma main vers votre ventre, je jette un œil vers votre entre jambe avec un petit sourire malicieux sur les lèvres, une idée me passe par la tête et donc je monte doucement sur le lit pour ne pas vous réveiller. J'écarte vos cuisses légèrement avant de poser mes lèvres contre une de vos cuisses et de l'embrasser doucement, j'approche ensuite ma bouche de votre sexe, je donne un coup de langue le long de votre verge et engouffre seulement votre gland, resserrant mes lèvres contre celui-ci, je le suçote avec gourmandise, je relève les yeux vers vous, pour voir si vous réagissez. Recevoir une fellation à son réveil, on peut pas rêver mieux. ~ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 11 Mar - 15:26 | |
| Je continue de dormir profondément. Être nu pendant que je dors est une mauvaise habitude, j'en suis bien conscient, mais c'est ainsi et je ne compte pas changer cette "mauvaise" habitude. Je ne remarque même pas que tu prends place sur le lit, je suis loin à l'heure qu'il est. Je fais un rêve étrange, dans lequel tu te trouve, bizarrement. Je ne te sens non plus te glisser entre mes cuisses, mais il est vrai que si j'aurais été éveillé, à cet instant même, je t'aurais féliciter, parce que je ne pensais pas que tu étais le genre d'homme à prendre des initiatives seul. Pendant que tu embrasse ma cuisses, remontant ensuite lentement tes lèvres vers ma verge que tu lèche, cette dernière ne tarde pas pour s'allonger entre tes lèvres, permettant ainsi à mon gland de sortir de son prépuce. Je grimace légèrement, car je suis en train de dormir et c'est comme si j'avais des pulsions sexuelles, pendant mon sommeil, mais ce n'est pas pour autant que je me réveille. Toujours en train de dormir, je gratte légèrement mon torse en laissant entendre un petit bruit sensuel, tout de même. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Sam 12 Mar - 13:50 | |
| Je retire votre gland de ma bouche, souriant en coin en entendant votre gémissement très sensuel, je remarque que rapidement votre sexe réagit à mes gestes, je m'amuse alors à lécher du bout de la langue la fente du gland, je le mordille de temps en temps puis je finis par l'engloutir entièrement dans ma bouche, resserrant mes lèvres ainsi que mes dents contre votre verge, j'entame des mouvements de vas et vient lent pour le moment, mes mains remontent jusqu'à votre bas ventre, caressant celui-ci avec sensualité. Je continue mes vas et vient quelques minutes, ensuite je me retire de votre sexe pour aller lécher le long de votre verge puis suçoter vos testicules en poussant de petits gémissements, m'appliquant dans mon travail, je glisse alors une main vers mon entre jambe encore vêtu de mon boxer, je la masse lentement en soupirant d'envie, j'espère que vous allez vite vous réveiller. Finalement, je reprend en bouche votre membre, accélérant un peu plus les mouvements. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Sam 12 Mar - 14:22 | |
| Sans savoir pourquoi, je gémis à nouveau, de ma voix rauque et sensuelle. Mon bassin se bouge lentement alors que je porte mes mains à mes yeux que je frotte légèrement, avant de pouvoir voir ce que tu me fais. Un sourire en coin vient s'installer sur mes lèvres. Tu es tellement bien parti que je ne veux pas te déranger. Je donne de petits coups de bassin alors que je te vois te masser l'entre jambe, j'aurais aimé te le faire, hors tu n'es pas à ma portée de main, alors pour le moment je ne peux rien pour toi. Je glisse mes doigts dans tes cheveux que je maintiens en arrière pour que je puisse voir les mouvements que tes lèvres font sur ta verge, je frémis de tout mon corps en sentant tes dents se préter au jeu. Je gémis plusieurs fois en écartant mes cuisses du mieux que je peux pour ensuite les passer autour de toi. De ce fait, je te fais basculer sur le côté tout en me mettant à ta hauteur et je te regarde en souriant en coin et caresse tes cheveux tout en frôlant tes lèvres des miennes. J'embrasse ta mâchoire tout en retirant ton haut pour embrasser ton torse. Je descends mes lèvres jusqu'à ton bas ventre et retire ton pantalon avec ton boxer. Je lèche l'intérieur de tes cuisses tout en massant ton entre jambe sous ma main. Je te regarde dans les yeux tout en caressant ton orifice de mon index. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Sam 12 Mar - 18:21 | |
| J'ai les yeux fermés et je suis concentré sur mes mouvements, jusqu'à que je sens votre main se glissait dans mes cheveux, je devine que vous êtes enfin réveillé, je rouvre les yeux et vous lance un regard aguicheur, je continue mes mouvements, accélérant quelque fois, satisfait que vous aimez ce que je vous offre. Je sens vos cuisses s'installaient autour de moi et qui me font basculer sur le côté, ce qui me fait interrompre, je me retire de votre sexe et vous regarde venir à ma hauteur, je souris légèrement en sentant vos lèvres se frottaient contre les miennes, je sens vos mains me déshabiller, je me laisse sagement faire, je soupire de bien être quand vous embrassez mon torse puis mon ventre, je me retrouve rapidement nu et un frisson parcourt mon corps, je cambre mon dos quand votre langue goûte à la peau de mes cuisses, je lâche un gémissement voluptueux quand vous massez mon entre jambe, bougeant mon bassin doucement, je vous regarde.
- Vous.. ne m'avez pas dit votre nom..
C'est vrai, je ne sais pas votre nom et vous ne connaissez pas le mien, puisque vous avez oublier de me le demander. Ce serait toutefois utile de le savoir.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 13 Mar - 16:22 | |
| Je te regarde toujours dans les mains en souriant en coin alors que je mordille lentement l'intérieur de ta cuisse. Je sais pas pourquoi, mais j'ai une soudaine envie de tendresse, drôle d'envie, tu me diras. Je hausse un sourcil quand tu me demande mon prénom, car je ne t'ai pas dis, et vice-versa. Je fronce légèrement un sourcil en me redressant.
- Masahito, toi ?
Je penche légèrement le visage sur le côté tout en mordillant ta mâchoire. Tu as toujours ta chaine en argent, et c'est frustrant, car le sang reste toujours meilleur à cet endroit. Je soupire fortement et m'allonge à tes côtés alors que je t'attire sur moi. Je me mets en position assise sur le lit et embrasse ton torse, mordillant tes tétons alors que je caresse ton orifice de mon index, l'insérant lentement en toi. Tes gémissements me manquent déjà. J'aime ta voix, tes gémissements, tes cris. Ca me rappelle le rapport de dominant-soumis que l'on "entretient". Je te regarde ensuite en souriant en coin, je ne cache pas que je veux te faire mal, alors j'ajoute un deuxième doigt en toi, les enfonçant progressivement, pour ne pas abimer tes parois plus qu'elles ne le sont déjà. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 13 Mar - 22:50 | |
| Je sursaute légèrement en sentant vos dents mordillaient ma cuisse, je vous regarde faire alors que vous dites votre prénom, Masahito ? C'est charmant. Je vous observe toujours et quand vous demandez le mien, je ne tarde pas à le dire.
- Sakito.
Je vous laisse faire ce que bon vous semble, je vois que ma chaîne vous perturbe autant, tant pis, il va falloir vous y faire. Vous vous allongez sur le dos ensuite et m'attire sur vous, donc je m'installe bien à cheval, je glisse mes bras autour de votre cou et frémis à vos baisers, gémissant faiblement quand vous mordillez mes tétons, puis je sens votre doigts caressait dangereusement mon orifice, et il se retrouve vite à l'intérieur, je me cambre en couinant, ça ne fait pas vraiment du bien dès le début, mais c'est supportable, malheureusement vous n'en restez pas à un seul doigt, je sens alors un deuxième rejoindre le premier, je pousse alors un petit cri, alors que je plante mes ongles dans votre peau, je saisis d'une main votre poignet, essayant de vous faire retirer vos doigts.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mar 15 Mar - 16:33 | |
| Je souris finement quand je découvre ton prénom. Sakito, ce n'est pas mal du tout, mais tu n'es pas une fleur fleurissante à ce que je vois. Je ricane légèrement à ce que je pense et lèche longuement l'os de ta mâchoire, jusqu'à ton lobe d'oreille que je mordille entre mes dents. Je lâche ensuite ton bout de chair après quelques minutes pour pouvoir regarder l'expression de ton visage, pendant que mes doigts bougent en toi. Je souris en coin lorsque je sens que tu veux que je retire mes doigts, mais je ne te ferai pas ce plaisir là, voyons. J'écarte lentement mes doigts en toi tout en te collant ensuite contre moi. Je nous fais lever du lit et te colle contre l'un des murs de la chambre. Je prends le temps de te regarder dans les yeux alors que je griffe légèrement tes hanches. Je te repose au sol et plaque mes mains de chaque côté de ta tête, sur le mur. Je frôle tes joues du bout de mes lèvres alors que je te retourne ensuite et maintiens l'une de tes cuisses que je relève assez haut prenant mon membre en main et en presse mon gland contre ton orifice.
- Qu'en dis-tu, si j'y vais d'un coup...?
J'embrasse le haut de ton dos tout en léchant par moment ta peau alors que je caresse ta cuisses comme je peux, plantant légèrement mes ongles dans cette dernières. (a) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Jeu 17 Mar - 9:42 | |
| Je vous regarde sans vraiment comprendre pourquoi vous rigolez tout seul, enfin j'y fais pas gaffe longtemps, je gémis faiblement à vos gestes, et sors finalement ma main qui essayait tant bien que mal de vous faire retirer vos doigts. Je repasse mes bras autour de votre cou, je sens que vous retirez vos doigts, je suis soulagé mais pas pour longtemps, ensuite je me laisse attiré vers le mur où je me sens plaqué contre celui-ci qui est froid, je vous fixe également, et je me retrouve vite au sol, je vous regarde toujours en me demandant qu'est-ce que vous préparez, mais je crains le pire, vous me retournez contre le mur, je plaque mes mains contre celui-ci et sens bien vite mon gland se posé contre mon orifice, puis à vos mots je secoue vivement la tête.
- Non.. !
Je gigote rapidement, j'ai pas envie d'avoir encore mal à cet endroit, surtout que je ne suis pas assez préparé et surtout pas en confiance.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Jeu 17 Mar - 12:36 | |
| Je souris en coin quand tu secoue négativement le visage. Je hausse un sourcil alors que je te retourne face à moi. Je hausse un sourcil tout en penchant légèrement le visage sur le côté. Je mordille lentement ton lobe d'oreille tout en prenant quelques secondes pour réfléchir sérieusement. Je hausse ensuite les épaules et m'écarte légèrement de toi pour pouvoir sourire finement.
- D'accord, je serai doux, pour cette fois.
Je dis ça, mais je sais que ça sera dur de tenir mes engagements, parce pour tout te dire, j'avais prévu quelque chose de vraiment amusant, mais comme je te "comprends", je te porte à nouveau et t'installe sur le milieu du lit. Je vais tâcher de faire les choses dans les règles de l'art, ce qui sera une grande première pour moi. Non, je ne suis pas un gentil, mais c'est par pitié que je fais ça. Je te regarde et me positionne entre tes cuisses alors que je couvre ton torse de doux baisers humide par moment. Ensuite, je masse tes tétons entre mes doigts tout en faisant lentement descendre mes lèvres sur ton bas ventre. Non, je ne te ferai pas de fellation, parce que j'ai horreur de ça, et que, pour ma part, je n'en ai jamais pratiqué. Je souffle chaudement contre ton gland alors que je prends ton membre dans l'une de mes mains. Je fais lentement aller et venir ma main contre ta verge tendue, portant les doigts de mon autre main à tes lèvres. |
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| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 18 Mar - 22:19 | |
| Je me laisse retourner pour être face à vous, je vous regarde et vous laisse mordiller mon lobe d'oreille en me mordant la lèvre, fixant devant moi. Mon regard recroise le votre et où j'aperçois un sourire qui orne vos lèvres. Je soupire de soulagement à vos paroles, c'est plutôt rassurant, je serai épargné d'une lourde douleur. Je me laisse entrainer jusqu'au lit, où vous m'allongez sur le dos, j'écarte les cuisses pour vous laisser place entre celles-ci, je ferme les yeux un instant et soupire d'aise à vos baisers puis je frissonne quand je sens votre souffle chaud frôlé mon gland, et je finis par gémir quand vous le prenez en main et entamez des vas et vient, j'entrouvre les lèvres quand vos doigts se posent sur celles-ci, je sors timidement ma langue et les lèche malicieusement, bougeant mon bassin lentement, je glisse une main sur mon torse pour me caresser sensuellement sous vos yeux, je pousse des gémissements comme ceux de la veille où on était sur le canapé et que la dame de ménage nous avait surprit. Je vous regarde de temps en temps, un sourire aguicheur sur les lèvres.
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| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Sam 19 Mar - 10:44 | |
| Nous sommes sur le lit, je suis entre tes cuisses à te préparer. Il est vrai que j'aurais pus faire ma brute et faire comme j'ai fais l'autre jour, mais je ne veux pas non plus que tu ai une mauvaise image de moi, mais fais attention, cela ne veut pas dire que je serai gentil à chaque fois que je te prendrai, haha. Oh non, d'ailleurs, j'avais prévu quelque chose de plus amusant, mais ce n'est pas grave, ce sera pour une prochaine fois. Je te regarde pendant que toi tu me fais de l'oeil, je souris en coin tout en passant le bout de ma langue contre ton aine alors que ma main va et vient toujours sur ta verge. Quand je sens que mes doigts sont assez humide, je caresse tes fesses de ma main qui te masturbais, avant de glisser mon index lentement en toi. Mon membre se tend sous tes gémissements alors que je pince mes lèvres pour ne pas te bondir dessus, car je ne cache pas que depuis tout à l'heure, tu me provoque, mais comme je t'ai dis que je serai gentil, je ne peux pas me permettre de casser cette "confiance" qui a eu du mal à s'installer. Mon doigt va et vient lentement en toi, par peur de te faire mal, alors pour ne pas que cela arrive, je resserre un peu plus mes doigts sur ta verge m'attardant par moment sur ton gland que je masse vigoureusement. Je te lance des regards vraiment torride alors qu'au bout de quelques minutes, j'ajoute mon deuxième doigt en toi, très lentement, espérant que tes parois se dilateront plus facilement avec cette deuxième intrusion. |
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| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 25 Mar - 21:42 | |
| J'ondule mon bassin sous vos gestes, puis quand je sens votre doigt entré doucement en moi, je me cambre d'avantage en poussant un cri crispé, le début ça fait légèrement mal mais je dois oublier la douleur pour une fois, puis heureusement que vous faites doucement, ça permet de m'habituer. Je vous lance les mêmes regards que les votre, accentuant mes gémissements au fur et à mesure que votre doigts va et vient le long de mes parois qui commencent à se dilater, j'écarte alors mes cuisses d'avantage quand votre deuxième se joint à la partie, je pousse un petit cri mais finalement au bout d'un certain temps la douleur passe et je ne ressens que le plaisir, je bouge mon bassin pour mieux sentir vos doigts en gémissant d'impatience, j'espère que ça suffira pour que vous compreniez que je veux passer aux choses sérieuse.. |
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| | | | Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? | |
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