|
|
| Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? | |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 27 Fév - 11:59 | |
| Après être sorti de la boutique peu commune dans laquelle de t’ai acheté, je te montre ma voiture se trouvant sur la place, un peu plus loin. Je nous y dirige alors que je tiens toujours la chaine qui est reliée à ton cou. Par précaution, je te détacherai une fois à la maison. Le chauffeur de la voiture sort de cette dernière pour venir nous accueillir, tel que je lui ai apprit. D’un ton légèrement tremblant, il me demande qui tu es. Je souris malicieusement alors que je tourne mon regard vers le tiens et regarde le maitre de voiture ensuite.
- Rien de plus qu’un esclave que je viens d’acheter. Je ne sais pas encore comment il s’appelle, je le lui demanderai une fois arrivé au manoir.
Il sourit alors qu’il s’incline devant toi comme pour te saluer. Il ouvre la portière arrière pour que nous puissions monter. Je glisse la clef de ta liberté dans ma poche. Ensuite, comme tu ne montre pas l’envie de monter, je te pousse à l’intérieur, tel un vulgaire objet. Je monte ensuite et referme la porte en demandant au chauffeur de nous ramener.
La route fut longue. Il fallait traverser toute la ville pour que l’on puisse passer par la seule route encore praticable menant à la forêt. Ensuite, le chauffeur prit de petits chemin, car mon manoir est bien enfouit dans la forêt, et il est plus que perdu, même pas repérable sur la carte, ou même avec un GPS ou autre objet de technologie. J’aime. C’est un coin vraiment tranquille, caché par la verdure. Nous ne tardons pas à arriver. Pour délimiter mon terrain, ce dernier est entouré de grillage assez élevé s’accordant parfaitement avec le portail au style baroque qu’il faut franchir pour pouvoir entrer dans la propriété. D’une petite boite, le chauffeur ouvre le portail à distance et entre la voiture qu’il gare devant les escaliers menant à l’entré du manoir. Le portail se referme seul.
Le chauffeur vient nous ouvrir la portière arrière par laquelle nous sommes montés, je le remercie et descends en tirant sur la chaine pour que tu puisses sortir. Je te laisse ensuite regarder comment est la nature à l’extérieur. Je nous fais ensuite entrer dans le manoir de style français. Il n’y fait pas clair car les UV pourraient me bruler sérieusement. Je me tourne vers toi, sortant la clef de ma poche.
- Avant de te libérer, est-ce que tu essaiera de t’échapper ?
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 27 Fév - 19:09 | |
| L'esclave suivit son nouveau maître, sortant rapidement de ce magasin, bien heureux de ne pas y être rester longtemps. Il observa la voiture que Masahito lui avait montrer d'un signe de doigt, c'était une voiture qui ressemblait presque à une limousine, visiblement, Sakito n'était pas tomber sur un homme pauvre. Tant mieux, il préférait les hommes riche. Il arriva devant la voiture et haussa un sourcil en remarquant un homme sortir de la portière côté conducteur, et en plus il avait un chauffeur personnelle. Il le dévisagea un moment alors que le chauffeur demanda qui il était, Masahito répondit quelque chose qui ne fit pas plaisir à Sakito, en plus de cela, il parlait comme si Sakito n'était pas là. Pour montrer sa contrariété, il lui lança un regard noir, on pouvait même s'imaginer que l'esclave allait se jeter sur lui pour le tuer sur place, mais bon, pour le moment il s'abstenait. Le chauffeur salua d'un signe de tête Sakito, qui le regardait sans vraiment réagir à ça, il jeta un œil dans la voiture quand le chauffeur ouvrit la portière, mais le plus jeune n'avait pas vraiment envie de monter dans cette voiture, il jeta un œil vers son maître qui rangeait la clé dans sa poche, il mourrait d'envie de lui prendre mais ce serait voué à l'échec. Il se sentit pousser sans aucune douceur dans la voiture, et grogna en signe de mécontentement, il finit par s'asseoir et ne plus bouger.
Durant tout le trajet, il observait le paysage défilé sous ses yeux, il rêvait juste d'être dehors, et d'être libre, lui qui n'avait jamais demander de devenir un jouet pour les vampires, il lâcha un soupir et fixa le vampire du coin de l'œil, il fallait avouer qu'il était très beau, dommage qu'il était un vampire égoïste qui ne pensait qu'à sa propre personne. Il reposa son regard sur les verdures qui se trouvait autour d'un chemin assez étroit qu'ils empruntaient, il se demandait si ce vampire n'habitait pas dans une forêt, il eut rapidement une réponse en remarquant un manoir splendide à l'architecture française, se situant au milieu d'une grande forêt, c'était vraiment un endroit magnifique et cela devait être agréable à vivre ici. Au moins, il y avait une chose positive dans tout ça. La voiture s'arrêta, le chauffeur ouvrit la portière et le vampire sortit de la voiture, voyant que Sakito ne se décidait pas à le suivre, il tira sur la chaîne, ce qui fit couiner l'esclave qui dégagea rapidement du véhicule, il lui tardait vivement d'être débarrassé de ce collier et cette chaîne. Il admira un instant la nature, les arbres grinçaient, les oiseaux chantaient, c'était beau, depuis combien de temps il n'avait pas assisté à un spectacle pareil ? Trop longtemps en tout cas. Il se laissa trainer jusqu'à la porte d'entrée, attendant sagement que le vampire déverrouilla sa porte. Lorsque ce fut fait, il entra jusqu'à que Masahito se tourna vers lui en lui demandant quelque chose. Sakito le fixa, l'air indifférent, et aperçu la main du vampire attrapait la clé dans sa poche, il eut une lueur d'espoir, il fallait qu'il soit débarrassé de cette chaine et puis peut-être pourrait-il s'enfuir d'ici.
- Non, je ne bougerai pas d'ici..
Mensonge, mais il fallait bien le berner ce vampire, il quitta des yeux Masahito pour observer l'intérieur du manoir, c'était très joli malgré le manque de clarté, mais chez tous les vampires cela devait être comme ça. Il examina alors chaque porte, chaque recoin, il fallait déjà qu'il enregistre les différentes pièces du manoir s'il voulait s'enfuir un jour.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 27 Fév - 19:58 | |
| Une fois que nous sommes entrés dans la pièce principale, je te regarde en maintenant bien la chaine entre mes doigts. Après tout, tu n'es qu'un humain et tu ne peux pas avoir une force de super héros, mais tout de même, je préfère me méfier que d'être sur de moi même. Bien sûr, quand tu me dis que tu ne t'échapperai pas si je te "rendais" ta liberté, je sens que tu mens, parce que comme tous les vampires, je peux lire dans les pensées, alors si tu crois pouvoir e faire un coup tordu, tu te trompe. Je m'approche de toi en murmurant.
- Je te déconseille d'essayer un jour, une évasion. Ici, c'est moi qui commande, alors c'est moi qui dit quand tu auras le droit de partir. En attendant c'est pas le cas...
Je souris légèrement en coin alors que je demande à une dame de ménage ce que le cuisinier prépare pour ce soir. Cette dernière répond d'une voix tremblante que ce soir le chef avait prévu de faire des nouilles au poulet. Je hausse les sourcils, après tout, cela m'importe de savoir ce que vous mangerai ce soir. Je lui demande donc d'une voix calme et clair avec une touche de sensualité.
- Apportez un plateau dans la chambre, cet homme y restera avec moi.
Je me tourne vers toi en souriant en coin alors que la dame semble avoir rougis. Je soupire légèrement et lui conseille de reprendre son boulot. Je te regarde alors que je nous fais monter l'escalier habillé d'un tapis rouge. Je nous mène alors à ma chambre. Grande pièce avec peu de meuble. Il se trouve une grande armoire, un grand lit pouvant contenir facilement trois voir quatre personnes. Je me tourne pour fermer la porte derrière moi et lâche la chaine, je sais que tu ne t'enfuiras pas, parce que c'est peine perdue pour toi. Je te regarde en m'installant sur le petit banc, devant le lit.
- Voilà, c'est ici que tu habitera, avec moi. Bien sûr, tu es libre de te balader dans le manoir, ou à l'extérieur, sous condition que tu accepte que quelqu'un t'accompagne. Si tu ose t'enfuir, je le sentirai, et je te retrouverai. En attendant, tiens...
Je sors de la poche de mon manteau la clef pouvant te libérer de cette chaine. Je te la lance en penchant légèrement le visage sur le côté.
- Je suis de nature gentille, alors essaie pas trop de me chercher. Quand tu te sera défait de ces chaines, je t'emmènerai à la salle de bain, pour nettoyer ton dos. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Lun 28 Fév - 12:45 | |
| Sakito reposa son regard sur le vampire qui s'approchait, par réflexe, il eut un mouvement de recul, et écouta les paroles du plus vieux. Il serra les dents en le fixant froidement, l'insultant de tous les noms par la pensée et il se doutait que le vampire lisait dans les pensées, alors il pourrait entendre toutes les insultes gratuite à son égard. Le jeune homme jeta un regard vers la femme de ménage qui avait l'air pas tranquille, on aurait même dit qu'elle avait peur du vampire, pourquoi ? C'est ce que se demandait Sakito, peut-être était t'il un sadique comme tous les autres, ça n'aurait rien d'étonnant. Le vampire entraina ensuite le jeune esclave vers les escaliers, montant jusqu'à sa chambre, après être entrer, le jeune découvrit la grande chambre de Masahito, il y avait peu de meuble, mais il y avait tout ce qui était utile. Il s'arrêta lorsque le vampire s'installa sur le petit banc en face du lit, il le fixa sans rien dire jusqu'au moment où le plus vieux lui annonça qu'il allait loger ici etcétéra.. Après ses paroles, il lui lança la clé que Sakito rattrapa vivement, et se dépêcha de se libérer de cette chaîne. Il laissa retomber le collier avec la chaîne à terre avant de se masser le cou abimé de marque rouge. Le vampire reprit la parole et le jeune lui lança à nouveau un sale regard.
- Franchement, à quoi je vais vous servir ? Vous avez déjà tout ce qu'il faut dans ce manoir, une boniche et un cuisinier..
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Lun 28 Fév - 13:39 | |
| Je te regarde te libérer en souriant en coin. Je me lève ensuite pour m'approcher de toi et de regarder ta nuque. Je laisse un bref soupire se faire entendre alors que je passe le bout de mes doigts froids sur les marque rouge causées certainement par le collier que le vendeur t'avais mis autour du cou. Je te prends la main alors que j'affiche un sourire en coin.
- A quoi tu me servirai ? Tu le saura très vite, mais pour le moment, sauf que je te soigne, ensuite, tu mangera et si tu le veux, tu pourra aller prendre un bol d'air frais.
Je sors de la chambre pour nous mener à la salle de bain. Je t'installe ensuite sur le rebord de la grande baignoire. Je sors une trousse de pharmacie alors que je t'arrache ton haut et le jette à la poubelle. Je regarde l'état de ton dos et pince légèrement mes lèvres.
- Quel brut, après il dit vendre de la bonne marchandise, laissez moi rire.
Je commence par prendre une compresse que j'humidifie avec du désinfectant. Je la passe ensuite sur l'ensemble de tes blessures. C'est vraiment pas très jolie à voir, mais normalement, tu devrai ressentir un peu de douleur, au pire, tu n'auras qu'à hurler.
- Je suis désolé pour si ça fait trop mal, au pire, mords moi, hurle, griffe... Fais tout ce qui te passe par la tête si la douleur devient insupportable pour toi...
Je te regarde tout de même en te parlant. Tu as vraiment les traits d'un ange. Peut-être que tu en es un, ou peut-être pas. Je continue de désinfecter tes plaies alors que je tamponne légèrement à certains endroits. Ensuite, je prends d'autre compresse que je pose par dessus tes blessures pour pouvoir ensuite passer plusieurs bande autour de tes hanches pour couvrir ton torse et ton dos. Ca peut paraitre nul, mais de une, je n'y connais rien en médecine et de deux, j'ai pas pus trouver mieux. Ensuite je range tout le désordre causer, parce que même si je suis une brute, je suis pas pour autant un faiseur de pagaille. Je m'écarte de toi et te regarde.
- Tu as faim ? Parce que c'est bientôt l'heure du diner... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mar 1 Mar - 20:52 | |
| Après mes paroles, je vous regarde vous lever et vous approcher de moi, restant sur mes gardes, vous êtes tout proche à présent mais je n'ai pas bouger, je sursaute par la froideur de vos doigts qui se posent dans mon cou. Je plonge mon regard dans le votre, alors que je sens, sans m'y attendre, votre main se glissait dans la mienne, je ne la rejette pas pour autant. Je soutiens toujours mon regard dans le votre alors que vous répondez enfin à ma question. Ça ne m'éclaire toujours pas certes, mais j'ai tout de même une petite idée et je n'espère pas que ce soit ce que je pense.
- D'accord.
Me contentais-je de répondre, même si je sais que je n'allais pas vous rendre la vie facile en étant ici, je n'aime pas obéir aux ordres et être mené par un vampire. Je vous suis jusqu'à la salle de bain, je ne fais pas attention à la décoration de celle-ci même si je me doute qu'elle est très belle comme votre manoir d'ailleurs. Je m'assied sur la baignoire, attendant que vous sortez tout ce qu'il faut pour mon dos. Mon haut me quitte rapidement pour finir à la poubelle, je me retrouve torse nu sous vos yeux, j'étale mes bras sur mon torse, essayant de me cacher, parce que je n'aime guère me retrouver à moitié nu devant une personne. Je vous regarde du coin de l'œil quand vous auscultez mon dos et lâchez un commentaire à propos du marchand, je reste muet et me prépare à souffrir silencieusement car je sais que ça va faire mal. Je me recroqueville presque et ferme les yeux en serrant les dents quand vous passez une compresse humide, je devine que c'est du désinfectant puisque ça me pique, je m'abstiens de crier ou de chouiner, de toute façon, je ne suis pas un gosse, c'est juste provisoire, ça va passer. Je ricane légèrement en vous entendant parler.
- Ce n'est pas le bout du monde, je sais supporter la douleur.
Vous finissez alors de désinfecter tout mon dos et je vous laisse ensuite me passer des bandes autour de mes hanches et de mon torse, je ne fais pas attention si c'est nul ou pas, tant que ça couvre mes plaies, c'est l'essentiel. Mon regard croise le votre quand vous vous écartez et que vous me proposez à manger, je secoue la tête, comme si j'étais d'humeur à manger alors que ma seule obsession est de partir d'ici. Je répond donc sèchement un 'non' alors que mon regard scruté dans le votre n'est pas vraiment doux.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mar 1 Mar - 21:32 | |
| Je souris en coin quand tu dis que tu sais supporter la douleur. Alors ce que je te réserve, tu sera le supporter aussi. Je soupire ensuite et regarde ton torse bandé. Pour une fois que je m'applique à faire quelque chose, je trouve ça réussi. je sors de la pièce que je referme derrière nous. Je te laisse alors regarder autour de toi pendant ce temps, moi je vais chercher une chemise à moi, bien sûr, car à la base, je n'avais pas prévu d'acheter quelqu'un. Je ressors de la pièce et viens te tendre ma chemise que tu vas mettre sur ton dos.
- Tiens. Ca évitera que tout le monde sache que tu es pudique.
Je te regarde tout en souriant en coin et bien prêt à te regarder la mettre sous mes yeux. Quand c'est fait, je te fais signe de me suivre. Je descends les longs escaliers de toute à l'heure alors que je m'avance vers la porte d'entrée principale et te regarde.
- Tu veux aller te dégourdir les jambes, alors vas-y, mais fais attention, je t'ai à l'oeil.
Je m'écarte de la porte pour te montrer que ce n'est en aucun cas une ruse, ou autre chose du genre. La dame de ménage me dit que ton plateau pour ce soir est prêt. Je m'approche d'elle en usant de mes charmes pour afficher un sourire à la hauteur de ce qu'elle attend. Je lui dit de ma voix douce que tu ne mangera pas maintenant, qu'elle fasse monter le plateau vers 23h. Il rougit assez rapidement, ce qui accentue mon sourire. Faut dire que j'aime me montrer désiré. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mar 1 Mar - 23:03 | |
| Je me lève durement et je sors de la pièce en vous suivant, j'observe tranquillement les environs, faut dire que la décoration, et les meubles sont apaisant, je sais pas mais je me sens bien dans cet environnement, il y avait juste ce vampire qui me sortait déjà des yeux. (XD) Je vous regarde partir dans votre chambre, et revenir avec une chemise certainement pour moi, d'ailleurs mes bras cachaient toujours mon torse sans trop m'en rendre compte, c'est un réflexe. J'attrape vivement la chemise et me tourne dos à vous pour pouvoir l'enfiler sans trop faire attention à votre remarque. Ensuite, je me retourne vers vous quand c'est fait, et vous suit sans protester, descendant à nouveau ces escaliers ornés d'un long tapis rouge. Je m'arrête après vous devant cette porte, j'avais bien reconnu que c'était la porte d'entrée, je me mord l'intérieur de mes joues, la liberté m'appelle, et je ne vais pas tarder à la rejoindre puisque vous m'autorisez à sortir. Je vous fixe un moment en haussant un sourcil, vous avez bien l'air sûr, me laisser sortir est un risque. Quoi que, je sais que vous me rattraperez facilement. Je m'apprête alors à ouvrir la porte lentement, mais en entendant la dame de ménage, je m'arrête dans mes gestes et la regarde ainsi que vous, je fronce les sourcils, j'ai bien l'impression que vous flirtez avec elle, c'est vraiment bizarre ou c'est moi qui comprend rien de votre jeu. (XD) Je profite du moment où vous avez le dos tourné pour sortir et je referme la porte en restant immobile quelque temps. J'attends de voir si vous allez venir ou quelque chose comme ça, vérifier ce que je fais. Mais je ne vous voit pas apparaître alors je m'avance à pas feutré, doucement, je visite cette belle nature, il y a un beau jardin d'ailleurs, mais ce n'est pas ma priorité, je marche rapidement, presque que je cours vers le portail de sortie, je soupire, ce con de portail est électrique, c'est donc impossible de l'ouvrir comme ça, je décide donc de le grimper avec difficulté, mais je finis par y parvenir et je me retrouve de l'autre côté, je me met à courir en suivant la petite route qu'on avait emprunter. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mar 1 Mar - 23:18 | |
| ( C'est gentil pour lui XD )
Je continue alors de parler avec la dame de ménage. A l'occasion, j'en profite pour m'excuser, l'autre jour, alors que tu n'étais pas encore là, j'ai faillis la tuer à cause de mes nerfs. Elle me dit que ce n'est rien, qu'elle a oublié, mais les mauvaise comédiennes font de mauvaises menteuses. Je rigole légèrement alors que j'embrasse légèrement son front, comme j'ai entendu dire qu'un baiser sur le front permettait de protéger la personne, alors pourquoi pas essayer. Quant à toi, quand je me retourne, tu n'es déjà plus là. Je souris en coin. Enfaite, si je t'avais laissé l'opportunité d'aller dehors, c'était simplement pour pouvoir voir de mes propres yeux que tu n'étais qu'un humain pitoyable, impossible de tenir un accord. Bien que j'en ai pas passé avec toi, mais je me comprends. Sans attendre, je sors dehors, restant sur le seuil de la porte. Je te regard escalader ce portail, avec beaucoup de difficulté, je dois bien l'avouer. Puis quand tu réussi, je ne mets pas moins de deux minutes pour m'éclipser devant toi. Je t'attrape par le col de la chemise et te met une bonne gifle qui laisse ensuite couler un ilet de sang au coin de tes lèvres. Avec un sourire narquois, je viens lécher ce sang si délicieux à mon gout et te regarde alors que je te jette au sol (XD).
- Je vois que je ne peux pas te faire confiance. Puisque c'est ainsi, tu ne sortira seulement qu'en MA présence. Et comme je ne suis pas d'un nature à aimer la nature, tu ne reverra certainement plus ce jolie paysage !
Je m'avance vers toi et t'attrape à nouveau par le col de la chemise pour te redresser. La nuit commence à tomber et je ne cache pas que je meurs de soif. Je n'aime pas être remercié de la sorte. Tu pourrai me montrer plus de gratitude, tout de même. Je nous éclipse dans ma chambre, à quoi perdre mon temps à faire de la marche, je sais que je n'en ai pas besoin. Une fois dans la chambre, je te pousse sur le lit. Je me met sur toi et te maintiens tes mains des miennes sans que tu puisse riposter.
- Maintenant je te conseille de te laisser faire... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 0:16 | |
| __Je m'arrête de courir, je me demande quand est-ce que vous allez arriver, je sais très bien que m'enfuir ne sert à rien, je sais aussi que je ne retrouverai pas la liberté, mais si je fais ça, c'est juste pour vous taper sur le système, surtout que je recommencerai, encore et encore même dans les moments impossible. __Finalement, vous apparaissez devant moi, j'affiche un sourire mesquin mais je me reçois rapidement une gifle sur la figure, sentant un filet de sang coulé sur le bord de mes lèvres. Je grimace de dégoût quand je sens votre langue attrapée mon sang et je me retrouve en moins de deux au sol, j'amortis la chute avec mes mains, du coup je ne saigne pas qu'à la lèvre. __Je vous regarde méchamment, faut dire, écoutant vos paroles. Seulement, je ne suis pas d'accord, et si je veux revoir cette nature, je la reverrais, de même si je veux sortir, de toute façon, je vais tout faire pour vous faire rager en vous désobéissant. __Je me laisse me redresser par vous et me retrouve en la fraction de seconde dans votre chambre, ainsi que dans votre lit, je n'ai même pas le temps de faire quoi que ce soit et ça m'énerve, en plus mes mains sont bloquées, j'essaie tout de même de les libérer des votre en grognant de rage.
- Lâchez moi, vous allez le payer !
__Des paroles en l'air, de toute façon, je ferais tout pour vous faire payer, et je ne savais pas trop ce que vous comptez faire, peut-être me baiser ? Ou me mordre le cou, heureusement que j'avais ma chaine en argent autour du cou, ils avaient oublier de me la retirer au magasin d'esclave, et ce serait à vos risque et péril de me mordre avec un tel danger sur moi puisque les vampires ont horreur de l'argent.. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 0:46 | |
| Mes pupilles se dilatent et deviennent rapidement rouge. Je te regarde dans les yeux en passant lentement le bout de ma langue contre mes lèvres. Je me penche sur toi alors que je ricane légèrement en remarquant ta chaine.
- Tu ne crois tout de même pas que tu vas m'avoir facilement, surtout que ta chaine et visible, hors même si je te la retire, l'odeur de l'argent reste sur ta peau. Pour cela, il faudrait te laver, mais j'avoue ne pas avoir le temps de jouer à l'eau pour le moment.
Je te regarde dans les yeux. Me désobéir te coutera très cher. Je commence par te ligoter les mains ensemble, à l'aide d'une corde. Je serre assez fort le noeud de façon à ce que tu ne parvienne pas à le défaire en quelques secondes. Ensuite, j'ouvre soigneusement la chemise, parce qu'elle est à moi et que je suis soigneux de mes vêtements, même si ces derniers sont sur un esclave qui a besoin d'une bonne leçon. Je lis dans tes pensées facilement, et elle me font sourire, mais ce n'est pas ça qui m'intéresse pour le moment, oh non. Je fais glisser ton pantalon malgré que tu te débatte avec tes jambes. Comme tu commence à me gonfler, je les attache écartées aux pieds du lit.
- Si tu bouge de trop, du risquerai de te brûler, alors ne joue pas aux imbéciles, ce n'est pas comme ça que je vais te rendre ta liberté.
Comme tu gesticule toujours comme un verre auquel on vient d'arracher la tête, je te remet une gifle un peu plus forte que la première alors que je me glisse entre tes cuisses. Je passe le bout de ma langue contre l'une des deux tout en souriant en coin. Je te regarde dans les yeux alors que mes canines transperce sans pitié la peau clair de ta cuisse. J'en bois ton liquide, encore et encore. Je bois plusieurs litres, mais je te laisse tout de même assez de sang en me redressant ensuite. Je te regarde et arrache ton boxer en regardant ton entre jambe. Ma soif est assouvie, mais mon plaisir, lui non. Je glisse mon index lentement dans ton orifice alors que je mordille tes tétons pour me faire patienter. Je te regarde tout en ricanant alors que je bouge assez rapidement mon doigt en toi, me fichant si cela te fais du bien, ou du mal. Tout ce que je veux, c'est que tes parois se préparent à m'accueillir. Au bout de quelques minutes à peine, je retire mon doigt aussi facilement qu'il en est entré. Je soulève lentement ton bassin alors que je me retrouve nu en une faction de seconde. Je te regarde dans les yeux en riant légèrement.
- Prends plaisir, ou sinon, savoure.. parce que maintenant, tu es miens...
Dans la seconde qui suit, c'est mon membre qui entre en toi. Même si je voulais y aller fort, je préfère y aller plus doucement qu'un sauvage, car si tes parois se déchirent, tu ne serai plus beau à voir. Mais cela ne veut pas dire que je suis doux comme un agneau, non, au contraire. Je me suis difficilement frayé un chemin en toi, juste assez pour t'entendre hurler de douleur. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 12:50 | |
| Je vous observe, remarquant le changement de couleur de vos pupilles, c'est horrifiant, j'essaie alors à nouveau de me débattre jusqu'au moment où vous brisez le silence, je m'arrête et vous fixe. Je me doutais bien que vous allez remarquer ma chaîne, mais étant donner que c'est impossible pour vous de me mordre, je suppose que vous allez abandonné.. Mais je me trompe, je vous vois attraper une corde et me ligoter avec ça les mains, ma respiration se fait beaucoup plus forte, je me demande bien ce que vous comptez faire et ça me fait peur à vrai dire, j'essaie de tirer sur la corde désespérément, mais impossible de la détacher, je vous fusille du regard, je vous ferais payer, les vampires ont des points faible et ils sont facile à trouver. Je baisse les yeux vers mon torse, regardant un instant vos doigts détachés les boutons de la chemise, je relève le regard vers vous, serrant des dents. Vous finissez par ôter mon pantalon, alors je gigote dans tous les sens, mais vous faites de même avec mes pieds et les attachez au pied du lit. Je continue désespérément à bouger dans tous les sens, espérant que ces cordes me libèrent. Je m'arrête au bout d'un moment, trop épuisé d'user mes forces pour rien. Je vous regarde à vos mots, comme si j'allais prêter attention à des paroles trompeuses.
- De toute façon, je ne retrouverais plus jamais ma liberté.. !
Je me remet à bouger, tirant sur la corde de mes pieds et celle de mes mains, je suffoque, mon cœur qui bat à cent à l'heure. Finalement, votre gifle me calme un instant, j'halète un bon moment avant de calmer mon souffle. Je vous regarde faire, je frissonne de dégoût en sentant votre langue humidifier ma cuisse, je remarque rapidement vos canines et je sais à quoi m'attendre, alors je respire un bon coup avant de sentir ces deux bout pointus entrer dans ma chair, je pousse un cri involontaire, me crispant, le dos cambré, je laisse une petite larme perlé sur ma joue sous le coup de la douleur. Je sens mon sang se faire aspirer par votre bouche, je ne sais combien de quantité, mais pas mal en tout cas. Ensuite, vous finissez par retirer vos crocs, je crois alors que le calvaire est terminé mais pas tout à fait puisque vous arrachez mon boxer, je rougis de honte de me retrouver comme ça devant vous, je tourne le visage pour fuir votre regard. Je me cambre à nouveau quand votre doigt pénètre dans mon entre, je me mord violemment la lèvre et pousse des plaintes, je me remet à bouger inlassablement, priant pour être épargné, mais c'est perdu d'avance. Je sens votre doigt bouger plus rapidement et j'essaie de resserrer mes cuisses, m'interdisant de gémir sinon ça ne ferait que vous satisfaire. Au bout de quelques minutes, je sens votre index se retirait, alors je panique parce que je sais que je vais devoir accueillir votre sexe, je vous regarde du coin de l'œil quand vous parlez, je serre les dents de rage, j'ai vraiment envie de vous tuer, même vous étriper. Et le moment venu arrive, je me cambre d'un coup, tirant à nouveau sur la corde quand vous entrez en moi, j'ai plus l'impression de recevoir un couteau qu'autre chose. J'hurle de douleur, celle-ci est insoutenable surtout quand le plaisir n'y est pas, je retiens mes larmes, je ne veux pas pleurer devant vous, ca ne serait qu'un acte de faiblesse, à la place, je vous fusille du regard, je vous insulte dans mes pensées, je souhaite juste que vous souffriez comme vous me faites souffrir à l'instant. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 13:36 | |
| - Ne t'en fais pas, tu auras tout ton temps pour trouver mes points faibles...
Après t'avoir pénétré, je te regarde dans les yeux en souriant en coin. Je bouge lentement, parce que tout de même, je ne veux pas te broyer de l'intérieur, même si je pense que c'est déjà fait. J'embrasse ta mâchoire alors que je me méfie de ta chaine en argent. Je ne sais pas pourquoi, mais elle me gêne, hors, je ne vais pas te la retirer, parce que je m'en sens pas le droit. Je te regarde dans les yeux tout en murmurant.
- Tu peux m'insulter autant que tu veux... Ca ne me fera pas arrêter...
Je commence à aller et venir en toi un peu plus rapidement alors que tes parois encore serrées me font me sentir bien. J'ai l'impression que je suis compressé, c'est tellement bon. Je gémis tout en embrassant ton torse du mieux que je peux. Je sens nettement chaque mouvement que j'exécute en toi. Plus mes mouvements s'accélèrent, plus que je sens que tes parois s'écartent. Je ricane légèrement tout en te regardant. Je prends vraiment mon pied, en même temps, cela fait tellement longtemps que je n'ai pas pratiqué ce genre de genre que je pensais en avoir oublié les ficelles. Par moment, j'aurais bien voulu détacher tes pieds pour pouvoir changer de position, mais qui sait ce que tu aurais ensuite tenté de faire. Mais tu ne te laisse pas faire, c'est ce que j'aime. J'exerce une longue série de vas et viens et me sens butter contre ta prostate. Je ne cache pas mes râles de plaisir alors que je me libère en toi, contre cette dernière. Je respire rapidement tout en poussant un long gémissement masculin. Je te regarde à nouveau alors que je me retire aussi sèchement de toi, que je n'en suis entré. Je pince mes lèvres regardant ensuite dans quel état je t'ai mis. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 18:54 | |
| - Connard..
Murmurais-je en supportant à nouveau cette humiliation à me faire violer. Contrairement à vous, je ne vous regarde pas, j'essaie de penser à autre chose pour me calmer, comment calmer la rage ? Frapper et hurler c'était efficace mais là j'étais attaché. Pour le moment, je supporte cet instant répugnant. Je tourne vivement le visage pour éviter vos baisers sur ma mâchoire, puis je fronce les sourcils en vous entendant. Je m'en doute bien que vous n'allez pas arrêter malgré mes insultes, c'est même logique. Je pousse de long râles quand vous accélérez la cadence, je tremble, sûrement de froid étant donné la température de votre chambre, vous allez pas vivre dans la chaleur puisque ça vous tuerez. Je soupire et ferme les yeux en déglutissant, mon orifice me fait mal, en fait j'ai mal partout. Je tire à nouveau sur la corde, je finis par saigner des poignets tellement je tire fort, j'écarte un peu mieux mes cuisses en bougeant un peu mon bassin, finalement la douleur passe après quelques coups, et je peux sentir votre sexe glissait en moi facilement, je rouvre mes yeux et redresse mon visage face à vous, je vous regarde d'une manière désabusé, poussant de petit couinement. Votre rire m'énerve et votre visage également, parce que vous êtes beau mais vous n'êtes qu'un tortionnaire, c'est dramatique. (syndrome de Stockholm attention 8D) Je sens alors votre semence coulé en moi, je ferme à nouveau les yeux, je suis fatigué, je compte bien dormir. J'ordonne alors :
- Détachez-moi, je veux dormir..
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 21:28 | |
| Après avoir pris mon pied, je prends un certain temps à reprendre mes esprits. Je me retire lentement d'en toi alors que je dépose de doux baisers sur ton torse, sachant pertinemment que tu n'aimera pas ça, et c'est ce que je veux. Je te regarde ensuite, un fin sourire aux lèvres.
- Voilà ce qu'il arrive quand on me désobéit... Et on recommencera à chaque fois que tu me désobéit, alors fait gaffe, parce que contrairement à toi, moi ça m'amuse.
Quant à moi, je me redresse et ne te détache pas pour le moment, même si tu me l'as demandé. Je préfère enfiler un boxer propre. Je t'en sors un et viens seulement te détacher. Je soupire en voyant l'état de tes poignets. Je les lèche lentement, ce qui leur permet de guérir immédiatement. Je me redresse ensuite et te tends le boxer que je t'ai préparé. Je grimace légèrement en te préparant ensuite le lit. Je prends une chaise que je pose près de mon lit et te regarde.
- Si tu veux aller prendre une douche rapidement, ou si tu veux recommencer, il y a pas de soucis.
Je souris en coin, je m'amuse avec tes nerfs et c'est vraiment mignon à voir. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Mer 2 Mar - 23:01 | |
| Je gigote à nouveau en grognant quand vous embrassez mon torse, si c'est fait exprès pour m'énerver c'est réussi. Je vous lance un regard mauvais à vos paroles.
- Vous allez être épuisé à force, parce que je ne vous obéirais jamais.
Je vous regarde vous lever en fronçant les sourcils parce que vous me détachez toujours pas, ça m'énerve, j'aime pas attendre quand j'ai demandé quelque chose, je soupire en attendant que vous vous décidiez, pas le choix de toute façon. Finalement, mes mains sont détachées, je couine parce qu'elles me font mal, je sens votre langue récupérer le sang et par miracle, les plaies disparaissent. Je regarde le boxer que vous me tendiez et l'attrape alors que je jette un œil en votre direction, qui entre temps, êtes aller vous installer sur une chaise. Je me lève et sors de la chambre sans avoir prêter attention à votre provocation. Je vais dans la salle de bain et ferme la porte à clé, je remarque une fenêtre, je souris en coin et retire la chemise que vous m'avez prêter, je m'avance ensuite vers la fenêtre et l'ouvre avant de balancer l'habit par celle-ci. D'ailleurs je crois que je vais faire pareil avec tous vos vêtements, des sales coups, vous allez en avoir. Je vais ensuite vers la baignoire et allume l'eau en laissant couler, attendant que la baignoire se remplit.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Jeu 3 Mar - 15:13 | |
| Je te laisse quitter la chambre sans que je ne sois derrière toi. C'est vrai, je ne vais pas toujours te suivre quand tu iras quelque part. Je me lève de la chaise que je replace là où je l'ai prise pour ensuite regarder la lune dans le ciel, au travers d'une grande fenêtre. J'entends nettement l'eau couler, de la baignoire. Je me laisse ensuite tomber en plein milieu du lit alors que je regarde longuement le plafond. Impossible de dormir la nuit, pour moi. Mais va falloir que je trouve une solution, car toi tu vis le jour et moi la nuit. Et si tu tente une évasion la journée, je ne pourrais rien faire. Quoi que je peux sortir, puisque la forêt me cache, mais même, faut que je trouve quelque chose tout de même. Je ferme une instant les yeux alors que je me demande ce que tu fais, cela fait plusieurs dizaines de minutes que tu es dans la salle de bain et je ne t'ai toujours pas revu, pas que tu me manque, mais je commence à me dire que partout où tu vas mettre les pieds, je vais devoir te suivre car on ne peut pas te faire confiance. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 4 Mar - 0:31 | |
| J'attends que la baignoire se remplisse assez, puis j'entre dedans, laissant l'eau recouvrir mon corps. Je soupire de bien être, et je ferme les yeux, tentant d'oublier les derniers évènements même si ça sera difficile. Je reste une bonne dizaine de minutes voir même plus dans l'eau, à vrai dire, c'est parce que je me suis endormi, je suis tellement épuisé de ce qu'il m'est arrivé, dormir me ferait que du bien. Ma respiration se fait lente et paisible, immobile, si vous ne serez pas là, je pense que j'aurai passer toute la nuit dans cette baignoire, mais fort heureusement vous allez venir me chercher. (a)
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 4 Mar - 1:16 | |
| Je soupire fortement. Cela fait une heure passée que tu es partis sans en revenir. Je commence à me demander quoi, mais tu es toujours dans le manoir, sinon j'aurais sentis quelque chose. Je me lève du lit en grognant tout en passant une main sur ma nuque devenant peu douloureuse. Je referme la porte derrière moi alors que je frappe doucement à la porte pour prévenir de mon arrivée, mais comme je n'entends rien de ta part, je me permet d'entrer, puis que tu le veuille ou non, c'est mon droit de te voir nu. Quand je te vois allongé dans cette baignoire, je souris en coin et m'approche de toi. Tu es magnifique, c'est un fait. Je caresse lentement la peau de ton épaule, ce qui ne te fais pas tellement réagir. Je remarque donc que tu dors, j'aurais dû m'en douter. Passons. Comme la baignoire servira très tôt le matin, car elle doit être nettoyée, je prends le pommeau de la douche et allume l'eau froide, voir même gelée. Je tourne le pommeau vers toi et t'asperge le visage avec tout en riant à la réaction que tu auras. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Ven 4 Mar - 1:42 | |
| Je dors toujours paisiblement, voir même profondément, du coup je ne vous entend pas entrer, ni même me toucher, je suis tellement bien plongé dans un sommeil que rien ne pourrait me réveiller.. ou presque. Quelque chose alors de froid, même de glacial asperge mon visage, et ce quelque chose c'est de l'eau, donc je sursaute brusquement, suivi d'un cri de surprise, c'est horrible comme l'eau peut devenir mon ennemi dans des moments pareils. Je frotte mon visage, j'ai tout d'un coup froid après le passage de cette eau, je remarque alors vous et votre rire qui m'exaspère, je vous lance un regard mais alors, il n'y aurait pas de mot pour exprimer la colère que je vous fusille d'un seul coup d'œil.
- Vous.. êtes.. méprisant !
Je n'avais pas autre chose sur la langue, et puis j'étais congelé sur place, ça m'a réveillé, passé du chaud au froid, c'est toujours un choc.. Je me lève et sors de la douche en attrapant une serviette plié sur un meuble, je l'enroule rapidement autour de mon torse, heureusement qu'elle est longue aussi, sinon on verrait mes fesses èè Je sors immédiatement de la salle de bain avec le boxer que vous m'avez passé et je vais dans votre chambre, essuyant vite mon corps avant d'enfiler le boxer. Ma fatigue s'est volatilisée du coup, qu'est-ce que je vais faire.. u.u
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Sam 5 Mar - 13:56 | |
| Je te regarde sursauter, ce qui ne fait qu'accroitre mon rire. Puis je me calme pour retrouver mes esprits. Quand je vois que tu es réveillé, je coupe rapidement pour éviter que tu n'attrape froid et que par la suite, tu ne tombe malade. Mais c'est trop tard apparemment. C'est mignon les frileux. Je te regarde donc sortir de la baignoire et enfiler la serviette autour de toi. Je glisse une gentille tape sur tes fesse avant que tu ne sorte de la salle de bain.
- C'est dommage de les cacher...
Je souris en coin tout en vidant la baignoire que je rince ensuite. Je sors et te retrouve dans la chambre, mais j'ai manqué le plus intéressant : le moment où tu mets ton boxer. Je soupire légèrement et m'approche ensuite de toi. Je t'enlace par derrière tout en embrassant ensuite ton cou tout en dégageant tes cheveux qui me gène. Je glisse mes mains sur ton ventre alors que je les glisse ensuite sur tes cuisses. Le peux regarder le jour se lever, cela ne me fait rien, comme toutes les fenêtres de ce manoir retiennent les rayons UV, je suis tranquille partout où je vais. Je regarde ensuite ta chaine en argent et murmure.
- Tu ne veux vraiment pas la retirer ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 6 Mar - 10:44 | |
| Après avoir enfiler le boxer, je sens des mains se glissaient autour de moi, je vais pour me débattre à nouveau mais je ne bouge pas finalement, je vous laisse m'embrasser le cou alors qu'un frisson parcourt ma colonne vertébral sans vraiment trop savoir pourquoi, vous ne me faites aucun effet pourtant.. Je sens vos mains se posaient sur mon ventre et ainsi se glissaient sur mes cuisses. Je me mord la lèvre discrètement, plaçant mes mains sur les votre qui sont vraiment froide, il y a un gros contraste de nos températures mais c'est pas bien grave. Je retire vos mains de là où elles sont en me retournant face à vous pour répondre à votre question.
- Non je la garde.
Je jette un œil dans la pièce alors que le silence s'abat, seul, mon ventre crie famine et casse ce calme. Je vous regarde et m'éloigne de vous pour aller m'asseoir sur le lit.
- J'ai faim..
Je vous regarde toujours en espérant que vous allez me chercher quelque chose à grignoter parce que je ne vais plus tenir sinon, la dernière fois que j'ai mangé remonte à deux jours peut-être.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 6 Mar - 13:38 | |
| - Comme tu souhaite.
Lorsque tu retire mes mains d'autour de toi, je m'assois sur le lit et prends mon paquet de cigarette pour en sortir une. J'allume ensuite ma cigarette et tire une longue latte de nicotine que je recrache ensuite, dans ta direction. Je souris en coin quand tu dis que tu veux quelque chose à manger. Je me lève donc et attrape ton bras, pour sortir de la chambre. Je nous fais descendre à la cuisine, évidemment, personne n'est encore debout. Nous avons passé la nuit à faire certaines choses et le jour est déjà levé, mais disons que les personnes que j'ai engagé au manoir ne sont pas non plus des robots. Donc, je regarde un peu partout pour voir où la dame de ménage aurait pu laisser ton plateau, mais je le trouve nul part.
- J'ai bien peur qu'il faut que je te fasse quelque chose à manger, parce qu'il n'y a plus rien. Hm, est-ce qu'une soupe miso te suffira ? Sinon je peux te faire autre chose, comme du riz avec un filet de saumon à la poêle.
Je suis certainement un vampire, un monstre pour toi, mais il en reste que j'ai des talents cachés. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 6 Mar - 18:54 | |
| Je vous observe allumer votre cigarette en fronçant les sourcils quand je me reçois la fumée sur le visage, je tousse un peu en remuant ma main dans l'air pour pousser la fumée insupportable. Je vous lance un regard noir, mais vous n'en tenez pas compte. Je me laisse attirer par vous jusqu'à la cuisine, je regarde vers une fenêtre et remarque que maintenant que le jour se lève, je n'ai même pas l'impression d'avoir veiller toute la nuit. Mon regard se pose sur vous quand vous me proposez quelque chose à manger puisque le plateau que la bonne avait préparé a disparu. Je soupire.
- Non, réveillez le cuisinier, qu'il puisse me préparer quelque chose !
Je quitte ensuite la cuisine avec un sourire mesquin sur les lèvres, je suis d'humeur à faire mon capricieux et si je n'ai pas ce que je souhaite, je me vengerai. Je vais pendant ce temps m'installer sur le grand canapé en cuir du salon, en soupirant d'aise, c'est vraiment confortable ce manoir.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? Dim 6 Mar - 19:49 | |
| Je te laisse quitter la cuisine en soupirant à mon tour. Mais pour qui il se prend celui-là. Le cuisinier n'est pas payé pour faire quelque chose à neuf heures du matin à un capricieux qui n'est pas foutu de manger quand on lui propose quelque chose. Alors j'ouvre le réfrigérateur pour sortir le filet de saumon déjà coupé par les soins du cuisinier. Je fais ensuite cuir du riz dans une casserole à part. Entre deux, j'ai eu le temps de finir ma cigarette. Quand je vois que le riz est assez cuit, j'en profite pour cuir le filet de saumon juste comme il faut, parce que le poisson cuit plus vite que du riz, alors j'ai préféré le faire en dernier. Je l'ai assaisonné d'un filet d'huile d'olive avec des herbes aromatiques. Je dresse ensuite l'assiette que j'ai eu du mal à dresser à la perfection. Si tu ne veux pas manger ça, je ne te comprends pas parce que pourtant ça met l'eau à la bouche, alors bon. Je pose le filet de saumon par dessus le riz et retire le tablier que j'avais mis pour cuisiner et prends l'assiette avec un verre et te l'apporte donc dans le salon. Je pose l'assiette sur la table basse en te regardant.
- Si ça manque de quelque chose, dit le moi, j'irais te chercher ce qu'il te faut. Et aussi, tu veux boire quoi ? |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? | |
| |
| | | | Qui aurait cru que la liberté pourrait être au bout d'une clef ? | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|