{ Tooru }
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« IDENTITY CARD » ♠Prénom : Tooru ♠Âge : 24 ans ♠Race : Humain ♠Rôle : Jiyuu ♠Clan : aucun ♠Origine : né sur la deuxième Terre
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« PSYCHOLOGIE » ♠ Votre motivation dans la vie : survivre
♠ Vos plus grandes peurs : la mort
♠ Vos goûts : L'art, la littérature, la liberté, vivre au jour le jour, profiter du soleil.
♠ Vos particularités : Je suis un éternel insatisfait, un torturé, sans doute un artiste maudit.
« HISTOIRE »
♠ Physique : De petite taille, tout juste un mètre soixante, pour un poids plume de quarante six kilos. Ses cheveux blonds décolorés sont pareils au soleil, ils reflètent le moindre rayon, ils forment autour de sa tête une auréole lumineuse et désordonnée. Ses yeux ont la couleur du chocolat tendre, sa peau à la dorure du miel. Ses lèvres gourmandes sont souvent étiré en un sourire amusé. Ses traits sont marqués, sans pour autant être sévère, ils sont marqué par les nuits d'insomnies, les nuits à parcourir la ville et à fréquenter des amis que l'ont qualifie de mauvais genre. Son corps est finement musclé, il a de grandes mains qu'on dit faite pour caresser. Souvent il porte un long manteau sombre très élégant. Bien que jeune, il est très rare de le voir sans une canne. Très élégante, elle appartenait à son grand père, un homme qu'il estimait beaucoup, et il trouve de plus que cela lui confère une classe certaine.
♠ Psychologie : C'est un artiste maudit, il y a Tooru, le lumineux Tooru, joueur, qui observe le monde avec une condescendance amusée, mais qui en croque chaque aspect. Il est brillant et d'une intelligence rare. Mais tout ça est sans doute une façade, il y a Kyô, son nom d'auteur, sa partie sombre, plus torturé, plus cynique, peut être son vrai lui. Il est un être complexe insaisissable, il ne se fixe jamais, on ne lui connait aucune relation stable, il court les salons d'art, les rendez-vous littéraires. Il ne supporte pas les mondanités, et est toujours décalé avec ses chemises froissées à moitié déboutonné, ses cheveux en pagaille, ses pantalons parfois élimé, il ne prends pas soin de lui. Il n'en voit pas l'interêt. C'est un être mystérieux, et bien que sa présence soit remarqué, personne peut se vanter de le connaître vraiment, il a son jardin secret, un jardin pleins de ronces, parfois lorsque c'est trop dur, il lui arrive de s'oublier dans l'alcool, dans la drogue, où en se scarifiant, faire couler son sang pour se sentir vivant, pour rester ancré dans la réalité. La mort l'effraie autant qu'elle l'attire.
♠ Histoire : Journal de Chieko Nishimura,
Aujourd'hui mon petit Tooru fête ses 24 ans, et comme à son habitude il est arrivé en retard à sa propre fête d'anniversaire. Je ne le comprends pas, je pense que je ne l'ai jamais compris. Enfant c'était une véritable boule d'énergie, il courrait partout, grimpait aux arbres, désordonnait toutes les pièces dans lesquels il mettait les pieds. La seul personne qu'il écoutait était le père de mon époux. Gikan, il semblait éprouver pour lui une admiration immense. Mon beau père était un homme très cultivé, il venait de la première terre, et il a apporté tout son savoir avec lui. Tooru adorait l'écouter raconter ses histoires. Il est mort d'une maladie orpheline, il a beaucoup souffert, et j'avais l'horrible impression que mon fils souffrait au même rythme. J'ai honte de l'avouer mais à cet époque nous étions plus occupé à nous occuper de son petit frère, Tooru était déjà si indépendant, et c'est lui qui était à son chevet lorsqu'il est mort. Lorsqu'on s'en était rendu compte, Tooru était allongé contre son grand père, mort depuis au moins une heure, c'est son père qui l'a trouvé, depuis ce jour il n'a plus jamais été le même. Il a commencé à écrire, des textes désarmants pour un enfant de son âge. Ses professeurs le disaient surdoué. Ses yeux d'enfants nous observaient avec une lucidité presque dérangeante. Il passait la journée les yeux rivés dans des livres.
Notre cadet était beaucoup plus discret, un enfant timide, il ne nous a jamais causé aucun problème. Lui et Tooru étaient presque comme des étrangers, je pense qu'il supportait mal que son grand frère soit si étrange, qu'il passe sa journée à lire plutôt qu'à jouer et qu'il soit le seul traité comme un enfant.
A partir de quatorze ans Tooru à commencer à faire des fugues, à sortir sans notre permission, c'est aussi à cette période que j'attrapais mes premiers cheveux blancs. A 16 ans il fit publier son premier recueil et on cria au génie. Mon cœur de mère saignait, ses mots transpiraient la douleur, mon petit garçon souffrait en silence, je pleurai en lisant son recueil, mon époux un homme sans grande sensibilité se contenta de le féliciter. Il était paysagiste, et travaillait pour le compte du premier il était en charge des jardins, son seul salaire son assurait une vie plus que confortable, il avait souhaité que Tooru l'aide, mais il s'était toujours dérobé, refusant cette vie, préférant traîner dans les bouges des mauvais quartiers. Je suis costumières de métier, et mes pièces s'arrachent à prix d'or, le Premier en porte, ses enfants également, et le mien... est toujours débraillé, des tissus précieux froissés, élimés. Tooru fréquentait les salons littéraires, je savais sa réputation sulfureuse, il semblait se trouver partout ou régnait un parfum de scandale. A vingt quatre ans il avait déjà cinq recueils à son actif, les critiques étaient élogieuses, mais qui comprenaient réellement ses textes ? Même moi je n'en étais pas certaine. Même s'il jouait bien, je sais qu'il n'est pas heureux. Lorsqu'il me laisse l'approcher, pose sa tête sur mes jambes et me laisse lui caresser les cheveux, que nous parlons longuement qu'il s'ouvre un peu j'entrevois celui qu'il appelle Kyô, son âme torturée par des démons invisibles. Que j'aimerai comprendre mon fils.
Je digresse, à l'occasion de son anniversaire nous avions réunis toute la famille et quelque uns de nos amis proches, des connaissances de Tooru que nous lui savions agréable, malgré cela il est arrivé en retard, et a semblé s'ennuyer, je sais combien il hait les mondanités, mais en raison de notre statut proche du premier nous ne pouvons y couper. J'aimerai tellement que lui aussi entre à son service. J'aurai aimé avoir des petits enfants, et je sais maintenant que je n'en aurais pas, mais plus que tout j'apprécierai qu'il soit parmi les protégers du Premier, mais il n'éprouve aucune envie de le rencontrer. Plus le temps avance plus j'ai l'impression que le luxe le dégoute, le pouvoir, la richesse, il se complaisait dans la misère, comme si pour quelques raisons il se juge indigne. Tout cela transpire dans ses textes, mais il n'en montre rien, au contraire même, quiconque ne le connaissant pas ne verrait en lui qu'un riche héritier un peu trop brillant, agaçant par sa verve naturelle et diablement mignon. En tant que mère, je m'inquiète, et ce n'est pas demain qu'il me laissera le comprendre.
« Derrière : Nom du Personnage »
♠ Pseudonyme : Mushi
♠ Age : 22
♠ Expérience RP : bonne
♠ Avatar choisi ( groupe) : kyo dir en grey
♠ Comment vous êtes-vous retrouvé chez nous ? le hasard
♠ Une chose à dire ? Sexy Sushi
♠ Code de validation : Code Ok par Kousei_