{ Hyde }
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« IDENTITY CARD » ♠Prénom : Hyde ♠Âge : 24 ans ♠Race : Vampire ♠Rôle : Le premier fils, Chef des Rebelles ♠Origine : La terre
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« PSYCHOLOGIE » ♠ Votre motivation dans la vie : Renverser le vampire qui nous gouverne tous
♠ Vos plus grandes peurs : Comprendre son acte de trahison envers moi
♠ Vos goûts : Le soleil a été mon premier amour, et Gackt le deuxième, mais les deux m'ont été retiré. Je ne vis que pour le renverser.
♠ Vos particularités : Une force que j'ai acquis par ma transformation, ainsi qu'une grande force de caractère. J'ai aussi un tatouage fait pour mon ancien amant, deux belles ailes dans mon dos signe que je serais à jamais son ange.
« HISTOIRE »
♠ Physique : Ma taille, c'est une chose que j'ai toujours détesté chez moi. Grand prématuré cela a dû jouer dans ma croissance car je me suis arrêté au mètre soixante. Mon poids me rend maigre bien que des muscles se soit forgés au fur et à mesure de mon adolescence. Enfant chétif et malade, l'humidité du monastère ou j'ai grandis ne m'a pas aidé à avoir ce qu'on peut avoir un beau teint. Je suis resté aussi blanc qu'au début de ma courte vie. Mes cheveux, d'une raideur étrange et d'un sombre noir, accentue la courbe fine de mon visage. Mais je ne peux vous annoncer mon physique ainsi, vous risqueriez de ne pas me reconnaître, car j'ai dû changer avec les années.
Avant ma transformation, j'étais quelqu'un de frêle, presque chétif. Mon teint était maladif et mes traits tirés par la fatigue qui me rongeait. Une fois arrivé dans la nouvelle terre, et après ma rencontre avec Gackt, j'ai repris beaucoup le dessus, sa seule présence semblait empêcher le mal de m'approcher. J'ai donc reprit du poil de la bête, un peu de poids mais aucun centimètre.
Puis il y a eu ce changement, je suis devenus ce que je ne voulais pas, par la force et me voilà devant vous changé. Je suis toujours aussi petit, et aussi maigre mais l'on peut dire que mes muscles se sont bien développés et que j'ai acquis une grande force. Mon teint a perdu toute la couleur que mon amour avait pus me donner, et je suis devenus aussi pâle que le marbre, peut être plus qu'en tan que malade. Mes traits se sont largement affinés et je peux dire sans me vanter que ma beauté à été décuplé. Une beauté froide, une beauté sombre. Mes yeux noirs, mon teint pâle, mes cheveux noirs et beaucoup plus souples qu'avant, qui me retombent devant les yeux avec grâce. Mes lèvres qui avaient appris à sourire on oubliées ce plissement depuis que mon cœur a cessé de battre. Aucune personne autre que mon ancien amour ne peux se vanter d'avoir vus une illumination sur mon visage, ou même d'avoir entendu le son clair de mon rire.
♠ Psychologie : D'un naturel curieux et déterminé, je peux me vanter d'avoir fait tourner en bourrique beaucoup de moines qui m'ont élevé. Les pauvres, je n'ai jamais aimé la hiérarchie, et l'autorité alors essayer d'avoir le dessus sur moi est une chose bien dur. Mes parents ont de leurs côtés eu aussi beaucoup de mal avec moi, ne m'ayant que très peu connus. À peine j'étais revenus du monastère, instruit et prêt à me marier que j'ai disparut dans la nouvelle terre. Je n'ai d'ailleurs presque aucun souvenirs que ces deux personnes ont je ne pourrais même plus vous parler.
J'ai découvert l'amitié et l'amour prés d'une unique personne qui fut dès lors la seule qui pour moi à vraiment compté. L'une de mes plus grande peur est de retrouver cet amour à présent que je l'ai quitté, car en moi, et à son égard, il n'y a plus qu'une lourde et grande haine que je continue de nourrir depuis son début. Il m'a prit la seule chose que j'aimais presque autant que lui, par un geste que je qualifierais d'égoïste. J'ai souvent réfléchis à ce que je pouvais faire pour lui rendre l'appareil, mourir ? Non j'étais déjà mort et puis on fait le deuil d'un mort et on passe à autre chose. Non … le pire n'est-il pas de voir la personne que l'on aime vous rejeter, se lier contre vous et essayer de vous renverser ?
Depuis ma transformation, mon caractère dominant qui avait eu le don de se cacher face à Gackt, est revenus en force et je n'ai de cesse d'alimenter cette haine, cette horreur que j'éprouve pour lui, afin de cacher la douleur et la souffrance que j'ai ressentis et que je ressent toujours face à cette trahison.
Je suis à présent une personne froide, mauvaise. Je ne m'attache à personne et vis dans la solitude et le dégout de moi même. Mais si tu es contre ce tyran qui nous sert de gouverneur, alors approche toi, viens, n'ai crainte et viens vers moi, les rebelles sont des personnes à qui je sert de chef ...
♠ Histoire : Naitre prématurément n'aide pas à bien commencer dans la vie, on y est jeté sans même avoir eu le temps de finir de se préparer mentalement et surtout physiquement. C'est ainsi que je suis arrivé sur cette terre, un petit être faible et bien peu armé pour gagner la guerre qui pourra amener sa survie dans ce monde sans pitié. Rapidement, la sage femme qui avait suivit ma mère jusqu'à l'accouchement, compris que je n'étais pas assez fort pour commencer ce voyage seul, et qu'il me faudrait être aidé et suivit. À sept mois mes poumons n'étaient pas assez bien développés et j'avais peine à respirer convenablement.
Durant les premières années de ma vie, j'ai crus mourir plusieurs fois sans jamais vraiment continuer ce chemin qui me menait souvent à une lumière que je ne connaissais pas. En effet, pour ma santé et la tranquillité de mes parents, je fus élevé dans un monastère, entouré de moines dont la particularité était une très bonne connaissance des médecines malgré le siècle où nous vivions. La lumière de l'astre brillant était donc une chose dont je n'avais que rarement la chance d'apercevoir, bien trop occupé à m'instruire des livres de l'immense bibliothèque, à me soigner et à me reposer parfois des jours entiers après une forte crise durant lesquelles je manquais de peu de rejoindre le très haut. Mais la patience des moines et leur savoir fut une très bonne chose pour moi et je pus améliorer un peu ma condition d'être humain, bien que mon physique sympathise beaucoup et fasse de moi un être faible en apparence. Car derrière cette carcasse chétive et faible, se trouvait un caractère froid et une résistance à l'autorité. Je donnais beaucoup de fil à retordre aux moines et j'étais souvent punis pour mes paroles bien trop significative parfois, ou mes questions dérangeantes.
Je ne garde donc de cette enfance, qu'un goût amer et je ne suis jamais désireux de me laisser aller dans les songes ou souvenirs pour devenir en quelque chose nostalgique de cette période de ma vie. Car de mon point de vus, ma vie n'a vraiment commencé, que le jour où j'ai pus enfin sortir de cet affreux bâtiment et ou je suis apparut devant cet astre tan décrit dans les livres bibliques.
La brillance du soleil à réussit à me charmer, tel, que je suis souvent resté des après midis entiers dehors, allongé sur l'herbe verte du jardin de mes parents, ou adossé à un des arbres du parc voisin, ou encore le nez collé contre l'une des fenêtres de ma chambre. Cette lumière était tout ce dont j'avais besoin et dont j'avais été privé durant les treize premières années de vie. Amour, voilà que moi, jeune homme à peine adolescent je venais de comprendre ce mot que j'avais rapidement associé à cet astre magnifique et brillant. Car les femmes qui se trouvaient à peupler le monde dans lequel je vivais ne pouvaient espérer arriver ne serait-ce qu'à la cheville de ce astre de lumière.
Mais la vie ne fut pas aussi facile que l'adolescent peut être, ce fut comme un rêve duquel je dû un jour m'éveiller, quoi qu'à bien y réfléchir non, je pense que ce fut après cela, que mon rêve commence et où la réalité cesse.
Un jour ou je me promenais à cheval dans les chemins si ressemblants les uns aux autres, je me suis perdu, à toujours avoir le nez en l'air je n'avais guère le temps de prendre connaissance du monde dans lequel je vivais. Rapidement, je décidais de laisser le pauvre animal se reposer après tan de marche pour lui, et d'essayer de me repérer un peu parmi les arbres et les buissons. Soupirant contre ma distraction, je ne me vis pas m'enfoncer un peu plus à chaque pas dans ce rêve sombre et triste. Je ne vis pas les lourdes portes entouraient de haies et de végétations, à demie perdu et caché dans cette nature. J'avançais toujours un peu plus, passant de l'autre côté de cette porte inconnus dans un monde dont je n'avais jamais entendu parler.
Rapidement, mon aimée me quitta, ne me laissant qu'un sentiment de froideur et de peur naissant alors que les derniers rayons disparaissaient à l'horizon. J'étais seul, perdu et loin de tout ce que je connaissais. Alors que les heures passaient, je fus de plus en plus paniqué à l'idée de ne plus retrouver mon chemin, et ma respiration se fit hasardeuse et contraignante, me prenant de plus en plus de force et une énergie donc je ne disposait plus après tan d'heures de marche. Me laissant tomber prés d'un arbre, j'essayais en vain de me reprendre, de ne pas me laisser aller à une panique qui me serais surement fatale. La fatigue me prenant, je fermais les yeux, oh presque qu'un instant mais j'avais besoin de repos. C'est ici que commence le rêve, le doux rêve que j'ai eu le bonheur de vivre et qui a finis par se transformer en un cauchemars.
La nuit fut fraiche ce jour là, et pourtant, à mon réveil, il me semblait que je n'avais pas eu à souffrir de ce froid. Mon esprit encore embrumé, je m'éveillais lentement, sentant un doux parfum masculin et pourtant rassurant prés de moi, ce fut je pense ce qui me fit sursauter si vilement, le fait qu'une personne se trouvait quelque part non loin. Un soupire sortis de mes lèvres lorsque je me rendit compte que cette odeur ne venait que d'une tissu posé sur mon corps frêle, mais ce sentiment confortable s'envola lorsque je vis de mes yeux, un homme non loin de là, m'observer avec des yeux brillant. Rapidement, je me levais, laissant tomber le manteau et partis en courant vers un endroit que je ne connaissais pas mais qui me semblait être mieux que cet arbre où se trouvait cet homme. Mais mon aimée n'était toujours pas levé, et mes sens encore endormis, je me pris rapidement les pieds dans une quelconque chose qui me fit tomber, mais un corps m'aida à reposer mes pieds au sol.
Cet homme, si grand, imposant, sombre, et son sourire charmeur. Tout cela gela la peur et lorsqu'il s'excusa de m'avoir fait peur, je ne pus que lui sourire, bien que très curieux je lui demandais ou nous nous trouvions, j'avais hâte de rentrer chez moi, mais cela ne semblait pas possible. Je ne compris pas tout ce que l'homme me raconta mais lorsque l'astre luisant se leva, j'étais dans l'une des plus belles, sinon la plus belle chambre d'un hôtel luxueux d'une ville que je ne connaissais pas. Il m'acheta des vêtements, de la nourriture, jamais de ma vie je ne fus aussi bien logé et à l'aise, bien que seul car mon ''hôte'' m'abandonna, me promenant de revenir dans les plus bref délais.
Une toute autre vie commença dès lors, pleine de rire, de sourire, et surtout d'un nouvel amour qui se déclara lentement, comme une fleur se déploie. Il venait chaque soir me voir, alors que je quittais mon aimé brillante, je retrouvais cet amant sombre. Nous allions et faisions ce que j'avais l'audace ou j'envie d'essayer, les spectacles, les bals, les restaurants, … Mais un jour, lors d'une journée tout à fait tranquille, quoi que bien trop chaude pour mon corps fragile qui avait pris bien du repos ces temps ci, je fis une crise. Une première depuis que j'habitais ici, mais si violente que les domestiques avaient peur de me voir mort avant l'arrivée de mon amant. Lorsqu'il entra dans ma chambre cette nuit là, j'avais eu le temps de me remettre de ce qui était pour moi presque naturel, et qui pourtant lui avait fait grand peur. Il fut ce soir là des plus attentionné à mon égard et refusa que nous quittions la chambre, mais son imagination nous fit passer une des nuits les plus belles car la première durant laquelle nos corps se mêlèrent.
Ainsi commençais ce si beau rêve, non le cauchemars n'est pas encore pour toute suite, ayez encore un peu de patience voulez vous.
La vie continua son court bien qu'un jour, je sortis d'un des salons de thé de la ville, avec une étrange sensation en mon corps. Une rumeurs, quelque chose que j'avais déjà entendu mais qui à présent me hantait. Mon amant du le comprendre car le soir même il me demandais ce qui avait fait disparaître mon sourire. Je lui confiais alors, ces on dit, qu'il ne serait pas un homme ordinaire. Certains le traitaient de bête, et d'autre de monstre, et je m'en trouvais plus de décontenancé. Gackt, car je ne vous avez pas dis son nom, m'annonça alors avec simplicité qu'il était vrai qu'il ne faisait partis des mortels, mais la façon dont il m'expliqua la situation me rassura et la peur me quitta à nouveau, le soir même je prenais place dans sa demeure. Ma vie ne fut jamais plus belle, bien que je ne puis dire combien de temps passa ainsi. Les nuits étaient parfaite et les journées brillantes, bien que ce monde de vie me fatiguais beaucoup. Je ne voulais manquais le soleil mon aimée, mais je ne pouvais laisser mon amant la nuit sans compagnie. Ne voulant choisir je savais que je ne pourrais tenir longtemps mais à chaque fois, je remettais au lendemain mon envie de choix. Et puis mon amour avec mon vampire était l'une des plus belles chose de ma vie et je ne voulais y couper, je ne le pouvais d'ailleurs.
Mais je vous avez promis une fin triste, quelque chose qui se transforme en cauchemars, alors continuons.
Ma santé passa cet hiver la par une période très basse, et plusieurs fois je du tenir le lit de longues journées et nuit afin de me reposer et ne pas aggraver ma maladie respiratoire. Je n'ai le souvenir que de douleur, de fièvre, de peur et de brume. Je n'allais certes pas bien du tout, mais il n'y avait aucun remède à cela, seuls les beaux jours pourraient m'aider à aller mieux, mais ils tardaient à venir à nous. Je savais que si mon amant avait pus, si cela avait été en son pouvoir, il aurait amené mon aimée le soleil pour qu'elle me guérisse mais il restait impuissant à mon mal. Les crises se succédaient avec rythme et la douleur était de plus en plus présente. Telle que parfois je restais des jours entier complétement inconscient.
Sans comprendre comment, un matin, je me réveillais sans aucune douleur apparente ou même caché en moi. Surpris, je me levais de mon lit qui m'avait tenus bien trop longtemps dans ses bras et sentis de suite que quelque chose n'allait pas en mon corps. Une lueur familière entra par l'une des fenêtre de ma chambre de malade et m'en approchant, je fut pris d'une vive douleur à la main. Ne comprenant pas ce qui se passait, je ne bougeais pas, et rapidement mes gémissements attirèrent un domestique qui ferma le rideau, me laissant sans voix. Je m'approchais rapidement d'un miroir à la lueur d'une bougie allumée et vit avec horreur que ma peau était aussi pâle que lorsque la maladie m'habitait et pourtant, aucune douleur ne me prenait. J'avais les traits beaucoup plus fins qu'à mon souvenir et horreur de plus, mes canines me paraissaient plus longues. Pris de peur je me rapprochais de mon aimée qui était à présent bien haute dans le ciel mais sa lumière m'était devenue douloureuse.
Il avait osé ...Il me l'avait prise … Lui, que j'aimais plus que tout venais de me prendre la seule chose que je pouvais aimer à son égale sur cette terre. Ma douleur se fit affreuse ce matin là, et il me semble qu'il ne reste à présent plus un meuble dans la chambre, tous furent mis à sac par mes soins. J'avais en moi ce besoin de me défouler, de casser, de crier, pour finir dans un coin à pleurer.
Lorsqu'il entra dans la chambre où j'avais passé la journée à me morfondre, je ne lui adressais pas un regard ou un geste, l'ignorant totalement, et ne bougeant pas d'un cheveu. Mon amour pour lui lentement mais surement se transformait en une haine que je ne connaissais pas avant. Je ressentais cette trahison au fond de mon âme, si j'en avais encore une, et n'avais de cesse de pleurer mon amour perdu.
Il passa un temps où je n'acceptais aucune goute de sang, me laissant mourir de faim ainsi dans cette chambre, mais je compris au final que la douleur de la faim était trop grande et que mon corps voulait enfin un peu de paix, maintenant que la maladie, ne faisait plus partie de mon être. Je consentis donc à prendre les coupes que venais m'apporter mon ancien amant chaque soir, alors que je l'ignorais toujours.
Et puis une nuit, ne supportant plus de voir l'homme que j'avais et qui m'avait rendu ainsi, je décidais de quitter les lieux. Je brisais notre passé et notre avenir commun pour me terrer dans un endroit sombre ou je pleure toujours mon aimée perdu, cultivant une haine sans limite pour ce vampire qui m'a jadis aimé et pourtant trahis.
« Derrière : Hyde »
♠ Pseudonyme : Tooru
♠ Age : 19 ans ♠ Expérience RP : 3 ans ♠ Avatar choisi ( groupe) : Hyde (solo, l'arc-en-ciel, vamps)♠ Comment vous êtes-vous retrouvé chez nous ? Par deux amies
♠ Une chose à dire ? Sex, blood ans Rock'& roll !
♠ Code de validation : Okay par Kousei !_