♠ Votre motivation dans la vie : se préserver du mal, et sauver mon âme
♠ Vos plus grandes peurs : sombrer dans la décadence
♠ Vos goûts : aucun réellement, je n'ai jamais pris le temps de songer à moi-même
♠ Vos particularités : mon apparence de poupée.
« HISTOIRE »
♠ Physique : Mes cheveux sont d'un noir bleuté, parfois en anglaise, bouclé, ou bien lisse, souvent décoré d'un nœud, d'un chapeau, d'un voile, une frange droite cache mon front. Je vois très peu le soleil, je suis donc très pâle, presque cadavérique. Il est inconcevable que je ne sois pas maquillé, mes yeux lentillés de bleu sont savamment cerné de khole, de mascara qui allonge les cils, mon regard est celui d'une poupée de porcelaine. Mes lèvres sont peintes de bleu, de rouge ou de noir, cela dépend de mes tenues. Tout est toujours assortis. Je porte très souvent des gants en dentelle, des robes ornées également de dentelle, longues la plupart du temps, sauf dans quelques cas, le jour du sabbat notamment, une fois par mois, je porte des robes plus courtes, en cuir ou en vinyle, je dois représenter le pêcher, et les moines me purifient. Mais je vous expliquerai ça plus tard. En tant normal, j'ai de longues robes, trainant sur le sol. Mon cou est toujours recouvert d'un col, ou d'une écharpe. C'est très important d'après les moines. Je me tiens particulièrement droit en raison des corset qui marquent ma taille; pour accentuer cet effet, je porte des jupons qui gonfle ma robe, et très souvent des bas de dentelles. Mon apparence doit être parfaite, Dieu m'observe, je suis l'enfant du pêcher, et j'ai beaucoup à faire pour regagner son amour. Je prends soin de moi, j'utilise des crèmes pour avoir la peau douce, lorsque j'étais jeune, une femme est venue passer mon corps au laser, pour qu'un poil ne viennent l'entacher. Je suis donc imberbe. Je dois être parfait, de la pointe des racines jusqu'à mes ongles vernis.
♠ Psychologie : Mon plus grand souhait est de sauver mon âme de la damnation, je prie beaucoup, et longtemps, je parle très peu. Je suis à l'écoute des conseils des aînés. D'un point de vue plus externe, je suis naïf, je ne connais rien de la vie hors du monastère, aussi loin que je me rappelle, j'étais entre ses murs. La parole des moines est sacrée, et je n'oserai jamais la contredire. D'autre vous diront que je suis hautain, avec les pêcheurs, et les fidèles qui viennent se confesser. Si j'ai une confiance aveugle envers les moines, je peux me montrer farouche avec les étrangers, j'aime la tranquillité de ma chambre. Je n'ai rien à lire, si ce n'est le livre écris par notre messie, celui qui a fondée cette église ayant pour unique but de chasser le malin de cette terre, qui aurait du être notre eden. Je suis doux, c'est moi qui soigne les moines qui reviennent blessés, je suis patient, j'espère vraiment que Dieu me reconnaîtra parmi les siens. Il est vrai que je n'ai jamais vraiment réfléchis par moi même, personne ne me l'a appris, et remettre la parole des moines en doute seraient blasphémer, cela ne me viendrait jamais à l'esprit. Les vampires, je les hais, c'est à cause d'eux que je suis né souillé, à cause de ma mère qui s'adonnait à d'honteuses pratiques avec un vampire, alors qu'elle était mariée à un fidèle. Les vampires me terrifient, enfermé dans ce monastère je me sens protégé, ils ne connaissent pas ce lieu, ils ne le connaissaient pas tout du moins. Une fois encore ils ont tout saccagé.
♠ Histoire : Je ne sais de mes parents que ce que les moines m’ont appris, ma mère enceinte s’est adonné au pêché avec un vampire, et m’a donc salis avant même que je naisse, femme cruelle. Mon père a préféré se suicider pour laver l’affront. Les moines m’ont élève, je deviendrai l’offrande du sabbat lorsque j’aurai atteints l’âge de 13 ans. Avant il me fallait apprendre la religion, faire mon baptême. Mon rôle dans la communauté m’effraya lorsqu’on me l’apprit. Je servais d’exutoire, un exutoire pour que les moines puissent ne jamais dévier. Mon rôle serait reconnu par Dieu, et je serai honoré pour cela. Alors je ravalais ma peur. Jusqu’à mes 13 ans, je faisais les corvées, le jardin. Puis l’année de mes 13 ans, on me fit porter des robes, de jolies robes de dentelle, décorés de rubans. La nuit du premier jour du sabbat, je m’avançais sur l’autel, la lune éclairait la pierre froide. Le grand prêtre fut le premier. J’appris que les moines n’étaient plus eux même. L’église comptait un grand prêtre, et vingt moines. Le sabbat dure trois jours, la nuit avant la pleine lune, la pleine lune, et le jour d’après. Pendant ses trois jours, mon corps ne m’appartenait plus, je buvais une potion, et j’avais à peine conscience. Sans doute pour mon bien. La cérémonie était trimestrielle. Les moines semblaient satisfaits de la cérémonie, et bien que tout mon corps me paraissait meurtris, j’étais heureux, je m’étais rapproché de Dieu. Et puis, par la suite j’étais soigné, jusqu’à la prochaine.
Mon existence était rythmée ainsi. Et je ne trouvais rien à redire. Comment l’aurai-je pu sans connaissance de l’extérieur, je ne pouvais avoir conscience d’être abusé, puisque je n’avais aucune comparaison. Mais alors que nous préparions le sabbat, j’avais enfilé une robe blanche, mis des nœuds dans mes cheveux, des bas de dentelles enserraient mes cuisses. Je venais tout juste de boire la décoction, et m’allongeais sur l’hôtel, un bruit sourd perça dans ma demi conscience. Puis des cris, des bruits de verre, j’étais incapable de bouger, un visage se pencha sur moi, et je sus que c’était un vampire, j’usais de toutes mes forces pour partir, et ne parvint qu’a dégringoler de l’hôtel. Je vis les cadavres des moines, et enserrai la croix qui pendait à mon cou. Il les avait tous tués, sans ménagement. Le choc fut si terrible que je perdis conscience, j’espérais seulement que ses vampires me tuent vite.
Mais à mon grand regret je m’éveillais, j’étais engourdis et j’avais mal au crâne. Autour de moi, il y avait toute une assemblée de vampire. Lorsqu’ils s’aperçurent que j’étais réveillé l’un deux me souleva sans ménagement. Je tenais à peine sur mes jambes, et je cru que j’allais retomber, mais il me maintenant solidement. L’esprit encore embrumé, je ne saisis rien de leur conversation. Je ne leur répondrai rien, jamais, je me tairais, je ne m’abaisserai pas à parler à des êtres pareils. Apparemment, il dissertait pour savoir lequel m’aurait à son service. J’écarquillai les yeux d’horreur, je ne voulais pas. Mais mon nouveau maître en avait décidé autrement. Est-ce que Dieu pourrait toujours me considérer comme son enfant, si je servais un démon. Je garderai la tête haute. Il le fallait.
« Derrière Mana »
♠ Pseudonyme : Mushi
♠ Age : 22 ans
♠ Expérience RP : bonne
♠ Avatar choisi ( groupe) : Mana (Malice mizer / Moi dix Mois)
♠ Comment vous êtes-vous retrouvé chez nous ? la petite souris
♠ Une chose à dire ? :D
♠ Code de validation : code okay par Gackt