The Red Chronicles
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 Shinya - Neo Geisha [100 %]

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MessageSujet: Shinya - Neo Geisha [100 %]   Shinya - Neo Geisha [100 %] EmptyLun 28 Juin - 16:29

Shinya

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    « IDENTITY CARD »

    Prénom : Shinya
    Âge : 18 ans / 208 ans
    Race : vampire
    Rôle : Ancien Favoris de Gackt
    Clan : Immortel
    Origine : né sur la deuxième Terre


« PSYCHOLOGIE »


Votre motivation dans la vie : Je ne vis que dans la haine de Gackt, de ce qu'il a fait de moi, pas un vampire non, mais un être si éloigné de ce que j'étais. J'étais son favoris, et paradoxalement je refuse qu'il m'oublie, mais je veux rester inaccessible pour lui.
Vos plus grandes peurs : La mort, la mort me terrifie, c'est paradoxale pour quelqu'un qui l'ait déjà. La solitude, je ne la supporte pas, j'ai besoin de compagnie.
Vos goûts : J'aime m'amuser, je suis très coquet, et féminin, je hais tuer, pour me nourrir, je choisis de prélever sur des partenaires, je refuse d'ôter la vie, c'est trop abjecte. L'ennui est ma phobie la plus grande, l'ennui est comme la mort, et ce n'est pas concevable.
Vos particularités : Je joue un jeu, je peux paraître manipulable, naïf, mais si je rentre dans votre jeu, c'est uniquement parce que cela m'amuse.




« HISTOIRE »


Physique : Je suis assez fier de mon physique, qui pourtant me portait préjudice lorsque j'étais mortel. Commençons par mon visage, mes yeux sont d'un gris orage, ils ne trahissent rien de mes pensées pour qui ne me connait pas parfaitement. Ils peuvent paraître un peu vide et renforce cette impression que beaucoup ont, celle que je ne suis qu'une poupée. Ma bouche est délicatement ourlée, souvent peinte de rouge. mes pommettes sont hautes mais pas saillante. Mon corps est très fin, beaucoup m'imagine faible, incapable de me défendre. Pour ne pas les détromper, j'écrase ma taille dans des corsets de vinyles. J'adore mes jambes, imberbe et immaculée, elles sont un atout, et je n'ai aucune honte la dévoiler, mes tenues sont toujours très courtes, mais comme je sais que trop dévoiler gâche le plaisir de découvrir, je porte souvent de hautes cuissardes à talon. Ah, j'allais oublier, mes cheveux, roux ou blonds selon mes envies, longs, ondulés artificiellement. Toute mon apparence est étudié, pour apparaître, comme facilement accessible, pour mettre en appétit, je soigne le moindre détail. Jolie poupée, douce poupée, mais méfiez-vous. Je mords.

Psychologie : Laquelle voulez-vous ? Celle que l'on m'attribue ? Ou bien la plus réelle ? Les deux peut être...
Commençons par celle que l'on m'attribue. Sois beau, mais tait toi. Je fais parti des alliés de Hyde, et si ce n'est lui, personne ne me connait vraiment. On me considère comme la catin du chef, je parle peu, et ne demande rien. Catin, comme c'est vite me juger, je n'écarte pas les cuisses pour n'importe qui, une autre rumeur me dis frigide, et un de mes sobriquet, est la princesse des glaces. Spirituel n'est ce pas ? Pourtant, croyez moi je peux me réchauffer très vite. Beaucoup me dise décoratif. Je n'élève jamais la voix, on ne me connait pas d'ami. J'évolue avec une grâce presque agaçante. Voilà tout ce que l'on dit de moi. De la sainte à la catin. Sans transition.
Qui je suis réellement, je suis pétri de haine. De haine envers mon créateur, de jalousie, de rancœur envers celui que je vénérai, et qui ne m'apportais pas l'attention que je désirais. Je suis hypocrite, je vous laisse croire ce que vous voulez, je suis ce que vous désirez, je vous fais croire que je vous apprécie, je me love contre vous, je dis me languir de vous, mais je ne fais que tromper l'ennuie. Humains ou vampires c'est identique. Personne ne me peu prétendre me connaître, sauf Hyde, je lui fais confiance, je connais son histoire et j'aime prendre soin de lui, je ne joue pas avec lui.

Histoire :

Je suis né dans une bonne famille. Ma mère était une femme superficielle, mon père un rentier heureux, aucun des deux ne travaillaient, ils bénéficiaient de la large fortune de leurs propres parents, tout deux riches investisseurs. Nous vivions comme des aristocrates. Leur vie était parfaite, jusqu'à ma naissance, je n'étais pas prévu, ils ne désiraient qu'un enfant. J'ai toujours senti que j'étais de trop. Mon frère, était un imbécile, ses amis étaient des rustres. Dès mon plus jeune âge, je le surpassais dans la plupart des domaines, le piano, le violon, même l'équitation. Cela agaçait mes parents, qui me rabaissaient sans cesse, préférant l'aîné, qu'ils présentaient à la société comme un véritable petit prodige, ils désiraient un brillant avenir, ce qu'ils auraient le plus aimé, fut qu'il devienne l'un des proches du premier. Quand je repense à cette époque, c'est avec ironie, j'étais un jeune idiot, je ne pensais pas à me rebeller, plus ils me rabaissaient, plus je luttais pour mieux faire et mieux je faisais, plus j'attirai leur mépris, alors que je ne désirai que leur attention, que leur amour.
Mon frère me présentait à ses amis, comme sa petite sœur. Et ils se moquaient de mes larmes. Ils tiraient sur l'élastique qui maintenait mes cheveux en catogan, ils me chahutaient sans arrêt. Mon seul contact avec l'extérieur était l'austère précepteur que mes parents avaient engagés. Ils ne gardaient enfermé, comme s'ils avaient honte. Honte de quoi ? De mon intelligence, de mon visage trop féminin ? Ah que j'aimerai revenir en arrière et me rebeller, frapper les amis cruels de mon frère et secouer mes parents pour qu'ils ouvrent les yeux. A force d'être critiquer, j'en vins à ne plus parler, à ne plus rien dire, à endurer en silence, j'acquiesçai ou refusais par simple signe de tête. Ils finirent par se désintéresser totalement de moi. A 14 ans je devins un fantôme, ils faisaient comme si je n'existais pas, et je me réfugiais dans des livres. Je rêvais d'une autre vie.

J'avais 16 ans, lorsque je le vis pour la première fois. Mes parents avaient organisé une soirée en l'honneur du Premier. Dans le but de faire valoir mon frère à ses yeux. Les consignes de la soirée, avait été de me taire, et de ne rien faire qu'ils leur fassent honte. La tête basse, j'étais tellement impressionné, j'avais envie de lui parler, mais je n'avais pas le droit. Puis je sentis un regard, et alors je croisais son regard quelques secondes à peine, je rougis, et le détournait. Mes parents étaient en train de lui parler, il semblait ennuyer, et je m'aperçut qu'il ne jetait pas même un regard à mon frère. Cela m'arracha un léger sourire. Mon père l'intercepta, et je vis la fureur dans son regard, je m'empressais de me ratatiner sur sa ma chaise. J'étais un imbécile et j'étais terriblement gêné parce que je sentais son regard, et avait l'impression terrible qu'il me sondait. Je finis par me lever de table et quitta la soirée, pour prendre l'air dans les jardins. Alors que je pensais être seul, je me trompais, les amis de mon frère étaient là, ils m'avaient suivis en réalité en les voyant je voulus faire demi tour expressément, mais c'était trop tard. Ils m'avaient encerclé, en ricanant bêtement.

"Tu sais Shinya, on a bien vu comment tu regardes le Premier. Ton frère est notre ami, alors on peut pas laisser passer ça... tu comprends n'est ce pas ?"

Je me rappelle de sa voix trainante, presque mielleuse. Je l'avais toujours trouvé malsain, sans savoir d'où me venait cette idée. D'une poussée, l'un me fis tomber à genoux. J'étais terrorisé. Mais ça, ça ne faisait que les amuser. Un autre m'attrapa les mains, les enserrant, tandis que le dernier faisait pression sur mes chevilles pour que je ne me relève pas.

"Joue pas l'effarouché, ton frère nous à raconté que tu laissais les professeurs te passer dessus pour avoir des meilleurs notes."

J'étais horrifié, l'esprit de mon frère était mesquin et tordu. Et ses amis songeaient vraiment que je ne valais pas mieux que la dernière des prostitués. Je paniquais lorsque je vis le premier défaire son pantalon. J'étais totalement innocent, je n'avais jamais eut l'occasion d'aller à d'autres soirées que celles que mes parents donnaient, si mon esprit était vif, je ne connaissais rien ou presque des choses de la vie. A peine ce que l'on pouvait en voir à la télévision. Ma vue se brouilla noyer par les larmes, j'étais pitoyable, vulnérable petite chose incapable de se battre. Et puis, brusquement, plus rien, les mains qui me tenaient me lâchèrent, les rires qui fusaient s'étranglèrent. C'était lui, c'était le Premier qui venait me sauver. Avec douceur il m'aida à me relever.

Depuis cette nuit et pendant environ cinquante ans, je lui vouais un véritable culte. Il me proposa de le suivre à sa demeure, et je m'empressais de dire oui, quittant cette famille qui m'avait toujours méprisé. Je découvris à ses côtés le bonheur d'être vraiment libre, de parler, je m'entendis bien avec les autres favoris, qui me prirent en charge, comprenant avant moi-même pourquoi j'étais ici. C'est eux qui m'aidèrent à m'arranger, me teignirent les cheveux, et m'habillèrent. La première année je m'épanouissais, je m'offris à Gackt sans honte, avec bonheur mais avec appréhension. J'étais si reconnaissant, et je savais qu'il en avait envie, il me disait qu'il pouvait attendre le temps qu'il me faudrait, mais je voulais lui faire plaisir. Et ce fut tout ce qui comptait pendant un temps. Sans même le savoir je quittais la dictature parentale pour une autre, plus douce, et je mis plus de temps à m'en rendre compte. Gackt rendait addictif, le fréquenter devenait une drogue, et la journée je n'attendait que la nuit, sa nature ne m'effrayait pas. A mes 18 ans, je réclamais qu'il fasse de moi un vampire, je voulais être avec lui pour toujours, et pouvoir lui offrir ce que ma résistance de simple mortel ne pouvait pas. J'étais éperdument amoureux. Plus que je ne l'avais jamais été, et ses paroles me rassuraient.

Au fil des années, la jalousie commença à doucement me ronger, lorsqu'il allait en voir un autre, je tournais comme un lion en cage. Je disais oui au moindre de ses désirs, s'il voulait me partager je le faisais. C'était une complète soumission, aveugle. Je compris qu'il aimait les être ambigu, et commençait à me féminiser, porter des corsets et des robes, me coiffait d'anglaises, et portait des bas. Je changeais, juste pour lui. Mais comme le reste, il s'y habitua, je ne devais plus présenter la nouveauté, alors je me mis à volontairement faire n'importe quoi pour attirer son attention. Je le trompais, en me dérouillant toujours pour qu'il me trouve. Je voulais voir la jalousie dans ses yeux, mais cela ne marchait que peu, cette liberté m'étouffais. Mais un soir, que j'entendis du refus dans les oubliettes. Je le vis, Hyde. Mon Salut. Il était magnifique dans la demi obscurité, je ne cherchais même pas à l'arrêter lorsqu'il ouvrit les portes. Je l'aidais, je le questionnais. Et appris sa haine pour Gackt. Alors je compris, je le haïssais, il ne m'avait pas emmené de force dans le monde vampirique, mais j'étouffais, mon amour s'était mué en une haine sourde. Ce n'était pas de la liberté, c'était de l'ignorance, nous formions rien de plus que son harem, c'était un monstre d'égoïsme. Est ce qu'il nous aimait réellement ? OU n'étions rien de plus que des créatures que l'ont exhibait pour faire des envieux.

Je quittais le domaine avec Hyde, je lui racontais mon histoire, et ma haine pour Gackt. Il ne me jugea pas. A partir de cet instant, je changeais de camps, rejoignais ceux de l'ennemie, et me résolus, à devenir exactement ce qu'il aurait voulus que je sois, mais sans plus jamais lui appartenir. C'est à cette période également que je me pris d'affection pour le cuir et le vinyle et forgeait une carapace autour de mon cœur. Je sais que c'est un comportement puérile, un caprice d'enfant gâté, mais peut on encore appelé caprice ce qui dure depuis plus de cent ans. Mortel, j'étais horrifié des rumeurs qu'avaient fait circuler mon frère, aujourd'hui j'aime provoquer, et j'aime penser que mes traques, que ce que je suis devenu est remonté jusqu'à Gackt. J'espère qu'il ne m'oubliera jamais et qu'il me désire toujours. Plus jamais il ne posera la main sur moi. C'est un jeu, celui du chat et de la souris. Hyde est la seule personne qui peut me cerner, et ce que j'apprécie le plus est le fait qu'il ne se montre pas moralisateur. J'éprouve beaucoup d'affection pour lui, il possède encore une certaine pureté, et je ne souhaite pas l'entacher avec mes propres souillures, alors je vous le dis, non, nous n'avons jamais été amant. Tout le monde le pense, et grand bien leur fasse, j'espère que c'est une bonne leçon pour Gackt. Mais j'éprouve trop de respect pour Hyde pour jouer avec lui, comme avec les autres.



« Derrière Shinya »

Pseudonyme : Bosie
Age : 22 ans
Expérience RP : bonne
Avatar choisi (dir en grey) : Shinya
Comment vous êtes-vous retrouvé chez nous ? j'ai connu par Gackt
Une chose à dire ? Ornithorynque, je trouve qu'on le dit pas assez
Code de validation : code validé par Gackt
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MessageSujet: Re: Shinya - Neo Geisha [100 %]   Shinya - Neo Geisha [100 %] EmptyLun 28 Juin - 20:40

Une précieuse chose qui m'a échappé des mains...Je te regrettes Shinya.
Bienvenue ! Et bon Jeu.

Shinya Validé
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Kousei
♣ L'artiste ♠
Kousei


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MessageSujet: Re: Shinya - Neo Geisha [100 %]   Shinya - Neo Geisha [100 %] EmptyLun 28 Juin - 20:51

Oh bienvenue poupée de glace... J'aime ton histoire !
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