La chasse aux vampires[Jun]

Jun allait avoir ce qu'il voulait, il en était désormais persuadé. Les yeux de Hyde fermés ainsi que ses mains tremblotantes lui indiquaient qu'il allait bientôt céder, ce n'était qu'une question de seconde. Son instinc ne rata pas, alors qu'il restait figé, ce fut le brun qui combla le faible espace les séprant, pressant ses lèvres contre les siennes. Il sentait dans ce baiser tout le désir qui animait en cet instant le chasseur. C'était juste... exquis ; d'une douceur infini, d'une envie sans borne...

Le blond décida alors d'enfin se mouvoir, glissant sa main gauche sur la nuque de Hyde pour venir tanto la caresser, tanto la passer dans ses cheveux. Ainsi, il approfondit délicatement leur échange, entrouvrant ses délicieuses lèvres pour y passer sa langue et venir cajôler les lamelles de chaires de son vis-à-vis. Son membre gauche vint lui s'échouer sur la peau douce de la joue du brun, la frollant de ses doigts fins et agiles.

Jun apprécia intensement les caresses que Hyde lui adonnaient. Elles étaient délicieusement tendre et précise - parfaitement bien placées. Son corps en ressentait des frissons, tellement l'étrange suavité de ses gestes lui plaisait. Il n'était pas le moins du monde habitué à être traité de la sorte, et n'avait jamais soupçonné un jour pouvoir trouver cela agréable. Sa colonne vertébrale ne cessait de vibrer, mût par multitudes de picotements qui partaient du bas de son dos pour monter jusqu'à son échine, et vice versa. Jun était d'autant plus surprit, que chaque mouvement de Hyde paraissaient hésitant, incertain ; la main sur sa joue, par exemple, avait longuement doutée avant de s'y poser. Mais... Le vampire ne s'en sentait que plus attiré, l'éléctricité parcourant son dos redoublant. Puis les lèvres du brun s'éloignèrent des siennes pour reprendre leur droits. Jun ne bougea alors plus ; la main posée dans la nuque du chasseur cessa ses caresses, restant statique, alors que celle sur sa joue tomba le long de son propre corps. Ses orbes étaient toutes plongées dans le regard intense et indéchiffrable du chasseur. Jun s'en trouvait troublé, et soudainement moins joueur. Jamais encore - pour la seconde fois - quelqu'un ne lui avait autant fait douter... Douter de ses intensions, de ses émotions. Hyde semblait éprit d'un incommensurable désir, mais ses yeux refletaient autre chose encore... Qu'il ne savait discerner.

Le blond décida alors de se mouvoir de nouveau, scellant pour la troisième fois de la nuit leurs lèvres avides. Ses mains repartirent à la découverte du corps de Hyde, frôlant ses hanches, cajôlant ses flans, s'accrochant à son dos, et remontant jusqu'à son cou pour y conférer quelques caresses attives. Quant à sa bouche, elle voulut elle aussi connaitre les parcelles accéssible de peau du brun, et finirent alors par s'attaquer à sa gorge, mordillant sa pomme d'Adam. Elles dévièrent finalement sur les côtés, suçotant sa peau, la lèchant puis l'embrassant tendrement alors que ses mains s'activaient encore sur tout le reste de son corps.

Jun sentit sous ses doigts, sous ses lèvres, le corps de Hyde se tendre. Cela dit, son désir semblait intarissable, alors il continua à jouer de ses dents pointues sur sa peau sans jamais la percer. Il n'avait pas le moins du monde faim pour le moment et puis... Ne mordait que si la personne était conscentente... ou alors, s'il en était obligé ; lui aussi, avait un jour été humain. Hyde ne devait donc pas avoir peur, loin de là... Il ne pouvait lui prodiguer que du bien.

Le vampire sentit une vague chaude lui traverser le corps alors que la main de Hyde venait de se glisser sous son chandail, caressant sa peau diaphane. Cette douche cajôlerie était des plus exquise, parfaite et présageait mille et une délicieuse sentation à venir. Jun se fit impatient, dans le baiser. Il l'approfondit presque sauvagement, mais n'en restant pas moins doux ; c'était surtout de l'avidité, dont il faisait preuve. Ses mains défirent alors un part un les boutons de la chemise de Hyde, et vinrent jouer finalement sur son torse dénudé, tordant parfois ses boutons de chaires. Quand Hyde manquait d'air, il se reculait quelques secondes avant de reprendre d'assaut sa bouche, y mettant toujours plus d'ardeur. Le corps du brun l'appelait inexorablement, il voulait le sentir sur lui, en lui, peau contre peau, corps contre corps.

Jun n'émit aucune protestation lorsqu'il se retrouva en position de soumit. Le chasseur était bien trop ennivré par le désir pour le tuer... ça ne pouvait être une tactique pour s'en débarasser, il en était totalement certain. Il se laissa alors lui-même totalement aller au plaisir qui l'enchainait au brun. Ses gestes pressés en devenaient mal habile, et retirait entièrement la chemise de Hyde avec difficulté. Puis elles vinrent toucher, effleurer, torturer la peau du chasseur de toute part, la griffant par endroit, la cajôlant à d'autre. Quant à ses lèvres, elles s'occupaient tanto des lèvres quémandeuses de Hyde, tanto de ses joues rebondies et rosies par le désir. Jun se faisait un plaisir non feint à baiser cette peau chaude et laiteuse... Si agréable que celle d'un humain vibrant de vie... Et le sang de Hyde qui faisait le tour de son corps soudainement plus vite, son coeur battant à son oreille de manière effréné... Ce son était la plus belle des mélodies... Celle que Jun avait perdue, mais qui se repercutait à l'instant dans son être dénué de véritable vie.

La patience de Jun eut une fois de plus encore ses limites. Avec empressement, il commença à défaire la ceinture du chasseur, puis ensuite, ses boutons et sa braguettes. Ses doigts jouèrent alors avec l'élastique de son boxer, puis vinrent s'appuyer contre le tissus du boxer du brun, touchant ainsi indirectement à sa virilité en éveil. Jun avait hâte de goûter encore plus à ce corps si désirable, appel à la luxure, au vice... Appel à la débauche si intense... Si inhabituel. S'en était presque fusionel.

Jun adorait au plus haut point la façon dont Hyde prenait possession de ses lèvres pour les chérir de sa douce tendresse, de son désir certain. C'était une sensation tout à fait ennivrante, débordante, qui assaillait le moindre de ses sens. Unique et irremplaçable sensation, qui s'amplifia quand le chasseur vint suçoter chaque parcelle de peau qu'il venait de mettre à nue à l'instant. Son corps firssonait de tout ses pores, ses mains s'accrochaient désespéremment au pantalon de Hyde, sur ses fesses, alors qu'il se cambrait légèrement, se laissant choir aux douces tortures de son amant. Dieu que c'était plaisant... Tellement plaisant !

Le blond reprit un temps soit peut le contrôle de son corps, résistant contre le plaisir fulgurant qui parcourait ses veines, et à l'aide de ses pieds, il fit glisser le bas du chasseur le long de ses jambes pour le lui ôter légèrement - lui faisant ainsi comprendre qu'il ne pourait plus attendre longtemps pour être prit. Il désirait que tout cela s'accélère... Etre enfin dépourvue de tout vêtement pour épouser de ses formes le corps de Hyde, et ainsi, s'y frotter allégrement. Le sentir aller et venir en lui, posséder entièrement son corps... Il n'avait jusque là au par avant jamais ressentit un besoin aussi grand de se sentir comblé... C'était étrange, mais exquisement agréable.

Ses mains se pressèrent d'aller à la rencontre du boxer de Hyde, palpant ses fesses à travers le tissus, puis venant masser son entrejambe. Le membre du chasseur était déjà totalement près à l'emploi, tout aussi en érection que le sien... Le désir était à son maximum, ne restait désormais plus qu'à l'assouvir. Et qu'importe les feuilles, qu'importe le terre, qu'importe le monde, au final. Les étoiles seraient les seules véritables témointes de leur ébat, et s'était plus que féérique.

Hyde le faisait languir, attendant longuement avant de se décider à enfin lui ôter son pantalon. Ses lèvres parcourant la peau de ses cuisses lui donnèrent de vive décharges éléctriques. Le contraste de température entre son corps et celui du brun était plus que délectable. Cette langue, chaude, parfaitement adroite faisait naître en lui un sentiment de vie qu'il n'avait jamais plus goûté depuis sa "mort". Hyde provoquait en lui myriade d'émotions toutes plus nouvelles les unes que les autres. Et cette lenteur avec laquelle le chasseur retirait son boxer puis, ce baiser presque amoureux, amplifiaient encore plus toutes ces exquises sensations. Elles perturbaient Jun à un point inimaginable, faisant naître en son sein, des milliers de papillons lui dévorant les entrailles ; ça le tiraillait d'une façon délicieuse. C'était une douleur agréable, bienfaisante.

Jun, au comble de sa patience, ondula soudainement contre le corps de Hyde, lui faisant ainsi muettement comprendre qu'il était véritablement temps de passer à l'étape supérieur. Et bien heureusement, Hyde était tout autant excité que lui et consentit enfin à céder à sa demande. Le chasseur vint alors se placer entre ses cuisses et le pénétra d'une lenteur infini, arrachant un soupire de satisfaction au vampire qui n'attendait que ça depuis de longues secondes. Ses mouvements commencèrent derechef, allant et venant doucement dans son antre chaude et étroite. Puis, les coups de buttoirs s'accèlérèrent, intensifiant le plaisir que ressentait Jun en cet instant. Avoir enfin le bonheur de sentir Hyde se mouvoir en lui était tout simplement exquis. Sous ses coups de reins experts, Jun se perdait dans un monde qu'il n'avait encore jamais réellement touché. Il lui semblait ne l'avoir qu'exploré jusque là, et enfin le découvrir sous toutes ses coutures, avec Hyde, part Hyde.

Sa tête se rejetait inlassablement en arrière, son corps entier se cambrant, tremblant de désir. Ses mains se perdaient ça et là, s'aggripaient parfois à ses hanches. Et ses jambes entourèrent finalement la taille du brun, l'attirant à lui pour mieux le sentir, et enfin, épouser totalement son corps du sien, se sentir un à deux.

Jun se sentait partir un peut plus à chaque coup de reins que faisait son amant. Hyde se débrouillait avec une dextérité sans nom, et lui procurait un plaisir au delà de toutes limites. Son corps se tordait sans relâche, fremissait de désir, se cambrait, haletait, suait, mordait, agripait, cherchait, embrassait, suçotait, tremblait, apprenait... Le blond n'en pouvait plus, de ce trop plein de plaisir, et cherchait enlassablement un endroit où placer ses mains, pour contenir ses cris, ainsi qu'un endroit où poser ses lèvres. Son corps tout entier, soumit au plaisir que Hyde lui procurait, était parcourut par une horde de papillons qui partaient de son vas ventre, venaient se loger dans sa poitrine, envahissait son cerveau et redescendaient par la suite. Et des vagues de plaisirs intense le traversait de part en part, comme un coup de poignard. Pour la première fois depuis des lustres, il se sentait vivre malgré la froideur de sa peau, de son corps, de son coeur. Alors il s'accrochait toujours plus à son amant, resserrant ses jambes autour de sa taille pour l'aider à le pénétrer plus vite, et plus profond. Hyde se démenait avec aisance, et touchait son point sensible à chaque fois qu'il venait en lui. Bientôt, des gémissements sonores sortirent d'entre les lèvres de Jun ; il montrait ainsi pleinement le plaisir qui le possédait à son partenaire, ne cherchant pas à étouffer ses râles dans des baisers. Il s'offrait totalement, se laissant aisement soumettre... Rendue faible par un plaisir trop grand pour être contenu.

La douce mélodie de leur plaisir, fut finalement chanter en coeur. Leur râle amplissait inlassablement le silence de la forêt, la rendait plus vivante. Mais Jun ne faisait attention à ce qui se passait aux allentours ; il était uniquement fixé sur les décharges de plaisir, de bien être, que lui prodiguait son amant. Hyde s'y donnait à coeur joie, allant de plus en plus fort, et ne se contenant à son tour plus. Ses coups de buttoirs étaient plus accentués, et le montait ainsi toujours plus haut.

Jun sentait en lui une déferlante de sentiments afflués ; des émotions inexplicable qui lui titillait le coeur. Son muscle froid, inerte, se serait emballé s'il avait pût. Cela dit, il ne le pouvait, et s'était alors le reste de son corps qui parlait pour lui. Il continuait de se cambrer, de crier sans relâche, de se tortiller sous son partenaire. Ses mains cherchaient à connaitre la moindre parcelle de ce corps intensement désirable, touchaient donc, effleuraient, cajolaient. Et ses lèvres n'étaient jamais repût de cette peau chaude, et transpirante... alors elles s'abattaient sans contrainte sur cette dernière, la happant de toute part, dévorant parfois sa bouche.

Le vampire était proche de la fin... Invariablement proche, et s'en voulait tellement. De l'endurance, il en avait à revendre... Mais la dextérité de Hyde mêlé aux nombreuses nouvelles sensations qui traversaient son corps, avait raison de lui. La jouissance n'allait pas tarder, son corps se pressait toujours plus avidement contre le sien, et ses ongles s'enfonçaient désormais dans son dos. Ses lèvres se faisaient plus pressées, et le reste de son être était envahit de tremblement de plaisir... Oui, il allait bientôt partir pour ce monde mille fois explorer mais jamais réellement connut... Et cette fois-ci, il allait bel et bien là bas...Hyde le faisait voler.

Jun sentit contre lui le corps de son amant se tendre, et partir tout autant que lui. Presque simultanemment, ils jouièrent. Le vampire laissa un râle rauque, suave, hachuré, sortir d'entre ses lèvres pulpeuses. L'orgasme était le meilleur, celui qu'il n'avait encore jamais pût connaitre... Hyde venait de le porter au plus haut, bien plus haut qu'au simple paradis du plaisir. Il s'était envolé pour la voie lactée et painerait sûrement à s'en remettre. C'était si bon, d'ailleurs, qu'il n'en revenait pas... D'avoir projeté ainsi, dans un monde si différent. Celui de Hyde, le seul.

Ses yeux encore troublé du plaisir intense qu'il venait tout juste d'étreindre, s'hasardèrent dans ceux de l'humain qui venait d'apposer sa trace sur sa peau diaphane. Hyde semblait bien possessif en cet instant, peut-être un peut trop. Mais Jun n'en tint pas compte, encore trop perdu dans les méandre de son précédent plaisir. Il tenait toujours le brun étroitement collé contre lui, ses bras l'enlacant, ses ongles toujours plongés dans la chaire de son dos. Ses doigts ne s'étaient que très légèrement desserrés ; il désirait rester encore un peut ainsi, le sexe de Hyde toujours en lui. Répondant vagument au sourire de son amant, puis à son baiser, il restait les orbes toujours plongés dans les siennes. Sa tête était totalement vidée de toute pensée superflue, ne demeurait que les miettes de son orgasme.

Jun remonta ses mains, doucement, jusqu'à la nuque de Hyde... Gourmant, inlassable, il scella sa bouche à celle du brun. Ses baisers étaient exquis, d'une couleur toute nouvelle, envoutant.

Ne pas le quitter, pas maintenant. S'ennivrer de ses baisers, avant d'en finir.

Cette nuit ne serait pas éternelle.

Jun vit lentement cette soirée s'éffriter, devenir souvenir, alors que Hyde se détachait de lui. Il avait beau le faire avec une tendresse infini, le blond avait déjà comme l'impression que ce moment magique touchait à sa fin. C'était des plus déroutant ; Jun n'aurait jamais crût pouvoir un jour désiré qu'une nuit soit éternelle. Lui qui désirait tant retrouver la lueur du jour, pensait à l'instant, que tout devait demeurer ainsi. Hyde, là, à ses côtés... Dans ses bras, en lui. Mais il venait de s'éloigner, et se rhabillait déjà alors que Jun ne venait que de se redresser. Il était totalement chamboulé, mais ne le montrait pas. Ses traits restaient stoiques, neutres. Il finit par lui aussi se lever, mais n'enfila que son string... Il ne voulait pas se revêtir totalement... Cela voudrait dire que tout était réellement finit.

Le blond s'approcha alors lentement du chasseur qui avait le dos tourné. Ce dernier arborait une énorme cicatrice qui semblait rescente dans son dos. Jun posa alors ses doigts fins sur les hanches du brun, et parcourut de sa langue tout le long de cette blessure... Il restait ainsi silencieux, et tentait de faire perdurer la magie de l'instant.

Jun acceuilla les lèvres de son amant sur les siennes avec envie, empressement. Il répondit au baiser avec fougue et presque... désespoir. Tout s'était enchainer, autant les évènements que les émotions, et Jun ne s'y retrouvait plus. Il désirait maintenant demeurer ainsi, et embrasser Hyde à jamais... Mais s'était tout simplement impossible, il devait se résigner à cesser tout cela. Il se devait de briser cet échange, cet instant, cette nuit... D'annihiler le moindre de ces caresses...

Le blond glissa ses mains des hanches du brun jusqu'à son torse, qu'il poussa délicatement. Ainsi, il obligea Hyde à délier ses mains de son cou, et à se reculer. La tête basse, l'expression de son visage morne, il retourna auprès de ses vêtements pour les enfiler un à un, pressé. Tout devait rapidemment prendre fin, s'il ne voulait pas se perdre dans les délectable sentiment qui prenaient vie en lui. Il n'y comprenait rien, en faite ; Il ne savait même pas ce qui lui arrivait... c'était si soudain ! Mais il savait une chose, ce n'était pas bon, ni pour lui, ni pour Hyde. Alors il fallait qu'il s'enfuit le plus loin possible de lui, et au plus vite !

Quand le vampire fut entièrement habillé, il coinca une cigarette de ses mains tremblantes entre ses lèvres, avant de l'allumer et de la fumer nerveusement. Restant figé, il ne savait quoi faire... Lui dire a dieu ? Au revoir ? L'embrasser ? Sortir une blague de son crue ? Ou... S'en aller sans rien dire ?

Jun entendit son amant reculer d'un pas. Il allait partir Il allait le laisser seul... Et il ne voulait pas... Du moins, il ne voulait pas être le plus faible, et partir en dernier. Alors il écrasa sa cigarette contre le tronc d'un arbre passant par là, et plaqua vivement le chasseur contre un autre. Son sourire moqueur - et factice, pour le cou - reprit possession de ses lèvres, et ses yeux se firent rieurs. Il nicha sa tête dans le cou du brun, et mordilla du bou de ses canines, le cou de Hyde. Quelques légères goûtes de sang coulèrent alors, et il les récupéra de sa langue. Cela dit, il ne planta pas plus ses crocs dans son cou, ne désirant pas le souiller ainsi... En faite, le but de cette manoeuvre était juste... D'énervé Hyde. Il voulait attiser la haine en lui, pour lui rappeler qu'il n'était rien d'autre qu'un vampire.

Après cela, Jun se lècha les lèvres et annonça :

" Au plaisir ! "

Puis il disparut, avalé par les arbres, la noirceur de la nuit.